Selon une source officielle égyptienne, Israël aurait accepté la proposition visant à mettre fin à la grève de la faim de nombreux terroristes palestiniens emprisonnés dans les prisons israéliennes.
C’est un phénomène très a la mode depuis qu’une palestinienne a été libérée de prison suite à une grève de la faim vers Gaza. Aujourd’hui cette grève touche les autres prisons israéliennes et plus de 1600 dont la plupart d’entre eux sont des terroristes et non des otages comme semble confondre nombres de médias européens. Ils font une grève de la faim depuis un mois,dont deux d’entre eux depuis plus de 70 jours.
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La cause officielle est le nombre multiple de prisonniers par cellule et ils réclament le fait de séjourner dans des cellules individuelles dans des conditions « normales » demandant qu’Israël « adouci » sa politique de «détention administrative». En attendant Israël n’a pas répondu à ce rapport officiel.
Des revendications non justifiées car les seuls prisonniers qui peuvent avoir une cellule particulière sont ceux de la classe politique, qui risquent de se faire tuer par les autres prisonniers. De plus, de nombreuses activités sont permises au sein de ces cellules et les prisons israéliennes sont loin de ressembler à celle ou se trouvait Guilad Shalit (qui était un otage) sans lumière et sans présence de la croix rouge pendant 5 ans.