Comme il est symbolique, un jour après l’élimintion réussi d’Al Arouri et de ses amis, l’Iran « célèbre » les 4 ans de l’élimination de Qassem Soleimani, qui a servi de 1998 à 2020 comme commandant de la Force Qods, la force responsable des activités de l’armée des gardiens de la révolution iraniens hors des frontières iraniennes.
Le 3 janvier 2020, Soleimani a été tué dans une frappe aérienne américaine (certains disent avec l’aide des renseignements israéliens) avec le commandant adjoint de l’organisation al-Hashd al-Shaabi, Abu Mahdi al-Muhandes, alors que l’ensemble du convoi voyageait près de l’aéroport international de Bagdad. Et pour boucler un cercle symbolique, au moins sept personnes ont été tuées dans cette attaque américaine.
Hier soir, ce fut le tour, de sept autre terroristes du Hamas éliminé à Beyrouth. Les chaînes de télégrammes du Hamas, qui rapportent normalement en continu des mensonges et de la propagande, sont totalement silencieuses, ce matin.
Ne vous y trompez pas : ces terroristes préparaient déjà un autre massacre, cette fois-ci non pas depuis Gaza mais depuis la Judée Samrie.