Un pas important vers une éventuelle percée dans les efforts d’élaboration d’un compromis sur kla reforme : le conseiller juridique du gouvernement a autorisé le secrétaire du gouvernement, l’avocat Yossi Fox, à s’engager dans l’élaboration de l’esquisse du compromis dans la réforme judiciaire à la résidence du Président.
Fox a soumis la demande d’avis juridique afin qu’il puisse traiter le plan d’une manière distincte de Netanyahu, qui est empêché de le traiter en raison du conflit d’intérêts qu’il a signé. Dans le système politique, on suppose que le secrétaire du Cabinet sera en mesure de traiter le plan de compromis comme une sorte de « pont » au nom de Netanyahu devant la maison du président.
Hier soir, Fox a tweeté sur son compte Twitter privé un soutien au plan d’Albashan Friedman et a écrit : « J’ai lu la proposition de compromis d’Albashan-Friedman & Co. concernant la réforme juridique. C’est une proposition sérieuse et une base pour des négociations sur les questions fondamentales ; Imjudicialité des lois fondamentales, majorité spéciale pour abroger les lois, clause de remplacement, modification de la composition du comité de sélection des juges, caractère raisonnable et avis juridique externe au gouvernement. Il reste à combler les lacunes sur la question de la majorité requise. »
Fox attaque souvent les avocats qui s’occupent des affaires Netanyahu au nom du bureau du procureur de l’État. Aussi, il prend souvent la parole en faveur de Netanyahu sur les réseaux sociaux et contre ses concurrents.
Conformément à l’avis du Premier ministre de 2020 sur la prévention des conflits d’intérêts, qui s’appliquait également à Netanyahu pendant son mandat actuel, l’interdiction qui lui a été imposée de traiter certaines questions ne s’applique pas automatiquement au Premier ministre également, à condition que le Le Premier ministre ne reçoit pas d’instructions sur ces questions de la part du Premier ministre.
En conséquence, il est interdit au secrétaire du gouvernement de s’entretenir avec le Premier ministre de la question dite de la « réforme législative », y compris de recevoir des instructions de sa part, directement ou indirectement. En dehors de cela, il n’est pas interdit de s’engager dans toute affaire nécessaire à l’accomplissement de son rôle gouvernemental, sauf indication contraire dans son arrangement.