La mère du mannequin Bar Rafaeli, Tzipi Rafaeli, qui purge actuellement une peine de 16 mois dans la prison de Neve Tirza, en Israël, a été diagnostiquée avec un coronavirus.

Rafaeli a été condamnée en juillet 2020 à 16 mois de prison et au paiement d’une amende de 2,5 millions de NIS, pour des délits d’évasion fiscale.

Rafaeli a récemment demandé à être libérée de prison en raison de son état de santé et a même déposé une requête contre les services pénitentiaires, alléguant qu’elle ne recevait pas de soins médicaux adéquats.

Les rapports ont noté que deux autres prisonniers de la prison de Neve Tirza ont été diagnostiqués avec le virus.

La mannequin et sa mère ont signé un accord de plaidoyer avec les procureurs l’année dernière après avoir été accusées d’évasion fiscale dans une affaire qui attribuait la majeure partie de la situation à la mère, entraînant ainsi la sanction la plus lourde.

Le modèle international israélien purgerait neuf mois de travaux d’intérêt général, tandis que sa mère, Tzipi Refaeli, qui agissait également en tant que chef d’entreprise, serait emprisonnée pendant 16 mois.

En 2017, Rafaeli a été arrêtée par l’Autorité fiscale israélienne, soupçonnée d’avoir éludé les impôts pour la période 2009-2012.

Les autorités ont déclaré qu’elle avait menti au sujet de sa vie à l’étranger et qu’elle n’avait pas déclaré aux autorités fiscales israéliennes les gains, les cadeaux et les remises de célébrités qu’elle avait reçus pendant cette période.

Rafaeli a affirmé qu’elle ne savait rien des efforts déployés pour cacher ses gains pendant cette période.

En juillet dernier, elle a interjeté appel devant la Cour supérieure de justice d’une décision d’un tribunal inférieur lui ordonnant de payer des impôts sur 8 millions de shekels pour les revenus étrangers en 2009-2010. L’appel a été retiré dans le cadre de son accord de plaidoyer.

L’affaire portait sur la question du lieu de résidence principal de Rafaeli. Elle a affirmé qu’en 2007 elle était partie vivre aux États-Unis pour être proche de son partenaire de l’époque, l’acteur hollywoodien Leonardo DiCaprio, et qu’elle n’était donc pas tenue de payer des impôts en Israël.

L’administration fiscale a affirmé qu’elle avait fraudé l’État en ce qui concerne son lieu de résidence et que pendant toute la période en question, elle avait vécu en Israël.