L’Etat a supprimé l’organisation «B’Tselem» de la liste des organisations non gouvernementales, dans lequel les conscrits peuvaient accomplir le service civil de remplacement en tant que bénévole, et l’a privée du soutien de l’Etat. Le chef de la direction de la fonction publique nationale, Sar Shalom Dzharabi a informé le directeur général de « B’Tselem », Hagai Helada.

Dans une lettre, Dzharabi, cité par les médias israéliens a accusé l’organisation d’activités contre l’Etat d’Israël et les soldats de Tsahal qui se sacrifient héroïquement pour le bien de la paix et la sécurité des citoyens de tous les secteurs depuis de nombreuses années, souffrant des nombreuses roquettes visant les domiciles, femmes et enfants ».

Dzharabi a accusé « B’Tselem » de la diffusion d’opinions» qui aident les ennemis d’Israël et à promouvoir « une campagne internationale de délégitimation et de calomnie » contre « l’armée la plus morale du monde». Il a rappelé le cas de ce PDG de vin spécial, Hagai Elad qui fait partie de l’organisation et qui a refusé d’appeler le Hamas comme une organisation terroriste et l’utilisation de l’expression comme  «organisation armée palestinienne. » Toutes les activités «B’Tselem» causent  un préjudice grave à Israël, afin de promouvoir un boycott international de l’État qui a de graves conséquences pour l’économie israélienne.

Au cours de l’opération «rocher puissant  » l’organisation « B’Tselem » a parlé des pertes de la partie palestinienne, et a montré la destruction dans la bande de Gaza et a essayé de placer un supplément sur ​​le téléfilm « Dans la bande de Gaza, les enfants ont des noms » – « les enfants de martyrs qui ont été tués pendant l’opération militaire. » La TV et Radio ont refusé de diffuser cette vidéo sur un publicité payante, « B’Tselem » a fait appel devant la Haute Cour, mais le juge a rejeté cette demande.

 

1 COMMENTAIRE