Rappelez-vous l’année dernière, quand Haaretz a prétendu à tort que les médecins israéliens stérilisaient systématiquement les immigrantes éthiopiennes contre leur gré? Le ministère de la Santé d’Israël a remis une note de service demandant aux médecins de s’assurer que leurs patientes éthiopiennes comprennent exactement ce qui est impliquée dans la prise du médicament Depo-Provera, qui est un moyen de contraception qui est valide pendant trois mois, utilisé aussi en France. Sauf que le site gauchiste Haaretz comme de nombreux site français dans la communauté ont accusé le gouvernement israélien de racisme et de vouloir limiter cette génération d’Éthiopiens.
Les ennemis d’Israël ont cru naturellement tous ces mensonges, et certains ont même mentionné lors de la réunion de cession de l’UCLA, la semaine dernière que si c’était vrai, ce serait répréhensible, mais c’est entièrement un mensonge.
Une autre histoire similaire, mais cette fois-ci, la différence, c’est que c’est vrai, et ça se passe coté palestinien, y aura-t-il autant de condamnations devant un fait réel face à une désinformation médiatique contre Israël ?
En effet, le ministre des Affaires sociales de l’AP, Kamal Sharafi a publié une note de service à tous les ministères et centres affiliés au ministère exigeant qu’ils pratiquent des hystérectomies aux femmes handicapées, ou aux femmes résident dans les institutions psychiatriques!
Tout cela est effectué sans l’autorisation ou le consentement éclairé des patients.
Le journal Al Hayat Al Jadida Sharafi a ajouté que l’hystérectomie ne devrait être autorisée seulement, si c’est médicalement nécessaire, et non dans le cadre de procédures de routine pour les jeunes filles défavorisées.
Contrairement à la note publiée par Haaretz, celui-ci reconnaît explicitement que les médecins arabes palestiniens effectuent des hystérectomies sur des femmes handicapées et des malades mentaux! Non, comme un traitement contraceptif comme le Depo-Provera, dont les propriétés de la contraception se terminent après un arrêt des injections, mais une stérilisation permanente pour les femmes défavorisées!
Il s’avère que cette histoire a ses conséquences. Toutes les femmes ne souffrent pas de troubles mentaux, mais leurs familles les forcent à subir cette intervention afin de préserver la pratique pour « l’honneur de la famille! » qui a été découverte en 2011.
Un chercheur palestinien de l’Université de Birzeit a découvert un scandale et un crime contre l’humanité. En effet, les familles palestiniennes de Judée Samarie forcent leurs filles à subir « la chirurgie de l’utérus » (hystérectomie). Les familles justifient cela en disant que leurs filles ont une déficience mentale, et bien évidemment, les hôpitaux qui pratiquent cette intervention sont administrés par l’Autorité nationale palestinienne («ANP»). Les chirurgies sont effectuées après que les familles aient parlé avec les médecins et les autorités religieuses en craignant que leurs filles peuvent être violées, ou deviennent enceintes ou soient incapable de prendre soin d’elles-mêmes au cours de la période en raison de leur (prétendue) déficience mentale.
Un psychologue palestinien a révélé qu’il y a actuellement 50 cas de jeunes filles en Judée Samarie qui sont encore sur la liste d’attente pour ces opérations.
M. … Breget a raconté une histoire d’une jeune fille de Shehem dans le nord de la Judée Samarie qui a subi une hystérectomie, soulignant que la jeune fille a pleuré, et a supplié sa mère au moment d’entrer dans la salle d’opération en lui demandant de ne pas permettre l’intervention.
Dans le même contexte, le sous-secrétaire du ministère de la Santé, le Dr Anan Al Masri, a couvert plusieurs de ses opérations d’ hystérectomie dans les hôpitaux gouvernementals et les équipes médicales impliquées dans les crimes sont couverts par son ministère. M. Al Masri a nié que les hystérectomies sont effectuées dans les hôpitaux PNA, il a dit que «le ministère de la Santé n’a pas approuvé la conduite de ces opérations », soulignant que le ministère « ne procède pas à ces chirurgies dans ses hôpitaux, qu’ils soient publics ou privés, et que le ministère peut poursuivre tout médecin qui a procédé à ces opérations parce que ce travail est loin de l’humanité et des lois à respecter ».
Il y a un groupe de médecins travaillant dans les hôpitaux PA qui sont liés par des intérêts privés pour une importante somme d’argent avec plusieurs membres du personnel de l’Autorité nationale palestinienne pour couvrir ces crimes. Les médecins procèdent à d’autres opérations à un prix élevé. Toutes ces opérations sont supprimées à partir des ordinateurs de l’hôpital. Certains médecins font ces opérations dans leur propre clinique, à la maison, au mépris de leur devoir de médecins et de la dignité des patients.
Dans le cadre des hystérectomies, il doit être noté que les questions de violences sexuelles et l’inceste sont très répandues dans les territoires palestiniens et au sein des familles, des écoles et institutions dans les villes, les villages et les institutions gouvernementales. Dans un tel bourbier, les jeunes filles sont forcées à effectuer des hystérectomies après que ces mêmes jeunes filles et femmes soient accusées d’avoir des «problèmes mentaux» .
Tous ces crimes sont interdits de débat public et publication dans les médias. Dans tous les cas, ces crimes sont traités d’une manière qui va couvrir les auteurs, et les aider à continuer la perpétration d’autres crimes, en punissant les victimes (femmes, mineurs, filles) ou de les tuer dans ce qu’on appelle «l’honneur», obligeant les handicapés ou malades mentaux filles (réels ou invoqués) à subir des opérations d’hystérectomie.
Où sont les protestations? Où sont les organisations des droits de l’homme qui n’ont pas remarqué cette pratique depuis plusieurs années? Où sont les médias ?
L’écart entre les Juifs israéliens et celles des Arabes palestiniens est un canyon. Dommage que les gens qui sont si prompts à bêler au «racisme» ne se rendent pas compte qu’ils sont les bigots. Et il ne peut y avoir de paix quand on n’attaque qu’une seule des parties …
