« Le Vatican espère que l’accord pourra inciter selon lui une fin complète au conflit », selon le Ministère des Affaires étrangères qui nomme ces méthodes offensives et hâtives pour parvenir à un accord de paix.
Le Vatican a signé aujourd’hui (vendredi) un accord de coopération avec l’ «État de Palestine», et a ajouté, qu’il « va mettre fin au conflit israélo-palestinien à travers une solution à deux États ».
En réponse, le ministère israélien des Affaires étrangères qui regrette la décision du Vatican annonce que «l’étape hâtive ne vas pas donner de chances pour parvenir à un accord de paix et l’intervention internationale est dommageable pour les Palestiniens qui doivent revenir à la table de négociation afin de gérer des pourparlers directs avec Israël. »
Il a également dit en réponse: « Nous regrettons également l’accord de formulations unilatérale, et les droits ignorés du peuple juif en Israël et des lieux saints juifs de Jérusalem ». Selon le ministère des Affaires étrangères, « Israël ne peut pas accepter l’accord unilatéral, et les intérêts vitaux de l’État d’Israël et le statut unique et historique du peuple juif à Jérusalem ».
Un bureau affirme qu ‘«Israël va apprendre les détails de l’accord, et des implications seront déterminées concernant la coopération future entre Israël et le Vatican ».
Mgr Paul Gallagher, Ministre des Affaires étrangères du Vatican, a déclaré : . «Il faut certainement des décisions courageuses, mais l’accord offre également une grande contribution à la paix et la stabilité dans la région », a-t-il dit.
L’Assemblée générale des Nations Unies en 2012 a reconnu la Palestine comme un état observateur sans participer. La décision a été accueillie au Vatican, qui est le même statut à l’ONU depuis que l’état actuel a reconnu la Palestine comme un État, ainsi que le pape François qui a appelé « État de Palestine » au cours de sa visite dans la région l’an dernier.