La présence manifeste de contacts avec Téhéran, que les États-Unis ont initialement niée, pourrait conduire à une sorte de traité, qui ne sera pas appelé un nouvel accord nucléaire, car il doit être approuvé par le Congrès américain.
Haaretz écrit de personnes informĂ©es que l’administration Biden tentera d’Ă©viter un vote au Congrès, mais les partis sont plus sĂ©rieux que ne l’admet la Maison Blanche.
Une source au sein de l’administration amĂ©ricaine a dĂ©claré qu' »il n’est pas question d’un accord intĂ©rimaire », mais n’a pas rĂ©futĂ© les informations faisant Ă©tat de contacts entre les pays.
Le conseiller principal du prĂ©sident Biden pour le Moyen-Orient s’est rendu discrètement Ă Oman au dĂ©but du mois pour s’entretenir avec des responsables omanais d’Ă©ventuels contacts diplomatiques avec l’Iran, selon cinq responsables amĂ©ricains, israĂ©liens et europĂ©ens.Â
TĂ©hĂ©ran dit Ă©galement qu’il nĂ©gocie avec les États-Unis via Oman.
Les États-Unis ont indiquĂ© Ă l’Iran quelles mesures il devrait prendre pour lever une partie des sanctions contre le pays.Â
Il y a Ă©galement eu une conversation tĂ©lĂ©phonique la semaine dernière entre le prĂ©sident iranien Ibrahim Raisi et le prĂ©sident français Emmanuel Macron, au cours de laquelle Macron a dĂ©clarĂ© que la France et d’autres pays europĂ©ens Ă©taient intĂ©ressĂ©s par une « solution diplomatique rĂ©aliste » Ă la question nuclĂ©aire.
Le gouvernement israĂ©lien est prĂ©occupĂ© par la possible pression de l’administration Biden en faveur d’un accord intĂ©rimaire de « gel pour le gel » avec l’Iran, ont dĂ©clarĂ© trois responsables israĂ©liens Ă Axios.
Rédaction francophone Infos Israel News pour l’actualité israélienne
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