Ce dimanche soir, dans une interview à la seconde chaîne de télévision, la ministre de la Justice Tzipi Livni a déclaré que les négociations en cours avec les Palestiniens sont maintenant le seul barrage qui protège Israël d’un «tsunami» , et du mouvement mondial pour le boycott économique de l’Etat juif. Si les négociations échouent, nous allons faire face à cette vague a averti Livni.

L’article d’aujourd’hui dans le Financial Times confirme ces prédictions alarmistes, car la communauté internationale veut boycotter Israël pour ses constructions en Judée Samarie et à Jérusalem Est. De grandes institutions financières du monde spécialisé dans l’investissement et les fonds de pension de l’Ouest se désengage l’une après l’autre des banques israéliennes.

L’auteur Merrie Madison sur le site Financial Times signale que le montant du retrait de l’investissement et des fonds de pension s’élève à  300 000 000 000 euros, sans oublier les fonds d’investissement scandinave Nordea, pour la somme de 130 milliards de dollars en actifs, et la DNB, des Fonds norvégien, pour un retrait total de 60 milliards d’euros.

La gestion de ces institutions financières ont signalé aux Banques d’Israël, qu’ils ne peuvent pas envoyer de l’argent à leurs investisseurs pour financer les « colonies » israéliennes illégales.

Le gouvernement israélien tente de minimiser l’importance de la campagne de boycott qui se déroule dans l’Ouest, bien que déjà rapporté récemment, cette campagne est déjà à l’origine de dommages importants pour l’économie israélienne.

 

 

4 Commentaires

  1. Vendons tout, prenons notre fric et barrons nous en Eretz, pour construire, investir et reconquérir. Si 1M de Juifs achètent un bien de 300 000 $ en Israël, le compte est bon. Une Alya Massive et express en 2014, voilà ce qu’il faut pour Israël. Quant aux boycotteurs vip, s’ils trouvent un meilleur placement par les temps qui courent, bravo… c’est bien ils ont le goût du risque. Et la Tsipi, casse toi pov conne !!!