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Les Houthis du Yémen ont déclaré un blocus de l’aéroport international Ben Gourion. Samedi matin, un porte-parole du mouvement Houthi Ansarallah a publié une déclaration mettant en garde les principales compagnies aériennes étrangères contre tout vol vers Israël.

« Suite au succès des forces armées yéménites dans le blocus de la mer Rouge pour les navires israéliens, le blocus sera mis en œuvre contre l’aéroport Ben Gourion en Palestine occupée », a déclaré un porte-parole des Houthis sur Twitter.

Les Houthis ont appelé les compagnies aériennes à s’abstenir de voler vers Tel-Aviv, soulignant que leurs avions seraient des cibles à l’aéroport israélien.

« Prenez notre avertissement au sérieux car l’aéroport ne sera pas sûr tant que l’agression à Gaza se poursuivra », a déclaré Ansarallah dans un communiqué.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Hier soir, après le lancement de missiles balistiques sur Israël, l’aéroport Ben Gourion a été fermé aux décollages et aux atterrissages pendant un certain temps. Plus tard, à l’approche de la nuit, les Houthis ont de nouveau envoyé des habitants du centre du pays dans des abris anti-bombes. La batterie Hetz a réussi à abattre le missile.

En Israel, l’opposition israélienne a appellé à manifester et provoquer un boycott économique contre son propre paye et en appytnt les menaces des yemenites. Ce soir, depuis la tribune du rassemblement, les dirigeants des partis d’opposition ont appelé à la désobéissance civile et à une « révolte fiscale » si le gouvernement n’osait pas appliquer la décision de la Haute Cour en soutient au Chef du Shin Bet Ronen Bar en poste le 7 octobre. « Ils ont décidé de ne pas respecter la loi ? Super, maintenant on peut tout faire », écrivent les opposants au gouvernement sur les réseaux sociaux.

Le chef de l’opposition, Yair Lapid, a déclaré que le gouvernement volait nos impôts, « volant des milliards aux contribuables et aux réservistes et les distribuant sous forme de pots-de-vin à des gens qui crient « Nous mourrons avant de servir ».
Après les universités, les dirigeants de grandes entreprises, l’association des hautes technologies et le président de la Histadrout, les pilotes de l’aviation civile menacent de faire grève :

 » L’Association des pilotes d’Israël, qui réunit les pilotes de toutes les compagnies aériennes, se joint à l’avertissement de la Histadrut, des capitaines de l’économie et des entreprises de haute technologie et exprime sa profonde inquiétude quant aux graves conséquences que la crise constitutionnelle en Israël aura pour la démocratie israélienne, pour le système de sécurité, pour l’économie et pour l’économie.

Il ne s’agit pas d’une question politique, mais des fondements de la démocratie israélienne et de l’État de droit.

Nous lançons un appel urgent aux dirigeants du pays : ne pas détruire la société israélienne par des actions indignes, se concentrer sur la libération des otages, sur la victoire et la restauration du Nord et du Sud, sur l’unification du peuple .