Selon nos informations les Israéliens sont pour la plupart embourbés dans les dettes. La dette totale des familles israéliennes aux banques (à l’exclusion des prêts hypothécaires) a augmenté au cours des cinq dernières années de 37% et a atteint 107 milliards de shekels, selon le Sunday « Calcalist ».
La publication note que les dettes des Israéliens se développent beaucoup plus rapidement que leurs revenus, le salaire nominal moyen (non corrigé de l’inflation) a augmenté par rapport à 2008 de 15%.
En nombre d’habitants, la taille moyenne de la dette avant les banques israéliennes et autres institutions financières est d’environ 12 000 shekels – ou 49 000 shekels pour la famille moyenne.
Ces montants, comme déjà mentionnés ne comprennent pas les prêts hypothécaires. Avec la « mashkenta », la dette israélien total des «individus» dépasse le budget annuel de l’Etat à 422 milliards de shekels.
Les chiffres publiés par « Calcalist » ne comprennent pas les dettes des Israéliens dans divers organes gouvernementaux tels que le droit à l’impôt sur la télévision, d’un montant de 875 millions de shekels.
Ces dettes font aussi partie d’un mode de vie en Israël, il est difficile pour un « Sabra » (personne née en Israël, depuis plusieurs générations), d’acheter un appartement. Vivre endetté est une perspective pour nombre d’entre eux, qui disent qu’on peut vivre aussi bien….tant que le travail et la santé sont au rendez-vous.