Hier, le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, a délivré plusieurs ordres. En particulier, désormais, la police sera obligée d’informer les familles des personnes tuées de l’avancement de l’enquête, et les prisonniers dans les prisons en vertu de raisons terroristes seront privés de certains avantages comme une boulangerie à disponibilité pour leur fin palet !

Itamar Ben-Gvir a demandé à la police de rester désormais en contact avec les familles de ceux qui sont morts aux mains des terroristes, de les informer régulièrement de l’état d’avancement de l’affaire du meurtre et de l’avancement de l’enquête, mais dans un tel manière que cela « ne porte pas préjudice à l’enquête elle-même et sans révéler de détails confidentiels ». Auparavant, la police ne disposait pas d’une telle directive et, le plus souvent, les proches des morts étaient informés de l’avancement de l’enquête par des communiqués de presse et des journaux.

En outre, le ministre a ordonné hier la fermeture des boulangeries des prisons Rimon et Kziot, qui abritent des prisonniers purgeant des peines pour des crimes graves de terrorisme et des crimes contre la sûreté de l’État.

Les boulangeries, où travaillent les prisonniers eux-mêmes, fournissent des pitas frais pour les repas des prisonniers, mais Ben-Gvir a considéré ces « privilèges et avantages déraisonnables » que les personnes incarcérées en vertu d’articles criminels (et non terroristes) n’ont pas, et a décidé de les fermer. On se demande d’ailleurs qui a été derrière une telle décision d’injustice entre les prisonniers ….