Demain, le grand jour, le jour J juif, le jour où ce peuple appelé juif portera son regard vers le Heykhal où sont enchâssés les saints rouleaux de la Bible et demandera pardon à son créateur… Demain est aussi le jour du jugement… celui que tous appréhendent et que certains osent contester… surtout parmi ceux qui au lendemain du grand Pardon, paraderont dans ce repaire immonde appelée l’ONU.
Les motifs qui avaient donné le jour à l’ONU ont depuis longtemps été dépassés, sinon trépassés… car l’ONU d’aujourd’hui n’est rien d’autre qu’un nid de crotales, une honte au noble projet qu’il devait servir et défendre.
Ces chefs d’États que les médias occultent, exècrent mais convoitent, se retrouveront sous une nuée de photographes et leurs paroles, trop souvent, à double tranchants, ambigües, équivoques, obscures et parfois catégoriques, seront enregistrées, classées dans des coffres-forts comme des joyaux, comme s’ils valaient vraiment une place dans ce que l’humanité a créé de saint… le saint des saints.
L’épouvantable parade des épouvantails ivres de tenir entre leurs mains le destin de l’humanité… prendra place, implacable et hallucinante. Ici est le lieu où l’homme croit devenir D-ieu, où il cherche à arracher à la Divinité les rênes de sa création en décrétant par un oui ou un non qui vivra et qui mourra.
Comment osent-ils… comment un homme, un simple mortel qui ne saura jamais quand son heure arrivera de quitter ce monde naturellement ou tragiquement… comme ose-t-il se prendre pour un D-ieu et blasphémer en son nom… de quel droit s’approprie-t-il le Divin et en son nom ordonner un génocide ?
En quoi donc ces êtres humains ont évolué à travers les âges… en rien, sinon que leur affublement a changé, leurs armes de mort se sont perfectionnées, et leur quantité de sagesse stagnante qui les protège comme des conserves dans leurs costumes en alpaga ou leurs burnous, restent les mêmes bornés de la préhistoire, les mêmes barbares qui n’ont jamais quitté le moyen Âge… évolution disent-ils ; laquelle, la voyez-vous ? Où est-elle donc ?
Dans une partie du globe sévissent des maladies oubliées par les siècles, la famine, l’arbitraire, la mort… dans l’autre, une calamité d’une autre espèce se perpétue sous de différentes connotations… le racisme, le pouvoir, la richesse, l’injustice, la convoitise, l’altruisme… lexique indéfini pour définir la nature controversée de l’être humain sous tous les cieux.
L’homme de l’année est sans doute le chef d’État iranien Ahmadinejad qui ne cesse de faire la une sur tous les journaux et les écrans… ne cesse de réclamer le génocide de la nation juive, de la menacer, de l’asphyxier comme s’il était un insecte malsain dont l’humanité doit se défaire… Après lui vient Obama, le gentil petit métis, complice et subordonné, qui sous des allégations sans base, tourne le dos au petit État juif, cherchant éperdument à l’offrir comme une curée aux chiens.
Hier encore, c’était un autre chef d’État qui creusait la tombe aux juifs… Oh, il a fait bien du chemin et ses crimes carillonnent encore dans les oreilles de l’humanité, celle-ci même qui aujourd’hui s’évertue à se les boucher… une poignée de juifs – débarrassons nous d’eux enfin…
Chers chefs d’États ingrats, inconscients et sans scrupules… vous vous trompez… car enfin, ce que vous croyez êtres, vous ne le serez jamais… et le mot de la fin de chaque créature, humaine, animale, végétale, de chaque peuple, de la planète et de l’univers entier, Seul le CREATEUR le possède.
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