Un homme de 67 ans de Ness Ziona a été accusé d’avoir reçu frauduleusement de l’argent dans des circonstances aggravées pour avoir retiré l’argent de l’assurance de sa défunte belle-mère morte depuis des décennies.

Dans un acte d’accusation récemment déposé par Ayelet Kadosh du bureau du procureur du district sud, Salim Abu Za’ila a trompé la sécurité sociale et a volé les prestations de sa belle-mère pendant 32 ans. Le montant de la fraude était proche de 900 000 NIS, mais en raison du délai de prescription de l’affaire, il ne pouvait pas être blâmé pour le montant total volé et Abu Zaila a été accusé d’avoir volé 340 000 NIS.

L’affaire a été révélée après qu’une cérémonie pour les seniors marquant leur 100e anniversaire s’est tournée vers la mère de la femme d’Abu Zaila pour l’inviter à l’événement. Il s’est donc avéré à la Sécurité sociale qu’elle était décédée il y a 32 ans et que son beau fils retirait constamment sa pension de survivant.

Selon l’acte d’accusation, la belle-mère de l’accusé, Halima al-Qur’an, née en 1919, vivait avec son mari dans le village de Kaseifa. Après son décès à la fin des années 70, elle a commencé à recevoir chaque mois une pension de survivant sur son compte bancaire. De plus, elle a commencé à recevoir un supplément de revenu.

Après le mariage de sa fille, al-Qur’an a emménagé avec le couple à Ness Ziona et le marié a été défini comme copropriétaire d’un compte bancaire qu’elle a ouvert dans la ville. En 1986, al-Qur’an est mort et a été enterré dans la localité de Kasifa, mais sa mort n’a pas été signalée aux autorités, notamment au ministère de l’Intérieur et au Conseil national de sécurité.

Le défendeur a reçu sur le compte conjoint chaque mois les prestations de survivants et la sécurité du revenu versées à al-Quran pendant 32 ans.

Dès que la fraude est devenue connue, le paiement des prestations a été interrompu. Le bureau du procureur a déclaré que le défendeur avait reçu frauduleusement, dans des circonstances aggravantes, pendant 32 ans, chaque mois, les prestations qui se sont arrêtées, pour un montant total de 891 411 NIS. Comme indiqué, en raison du délai de prescription pour l’infraction, seule la fraude des 10 dernières années pouvait lui être imputée.