Une tempête a entouré la nouvelle selon laquelle le bureau du vice-Premier ministre Lapid, s’est engagé à allouer des dizaines de millions de shekels au conseil local de Jisr a-Zarqa supplémentaires afin que Mansour Abbas reste dans la coalition. Le parti d’opposition a tenu à rappeler que cette localité arabe était liée aux événements de l’opération Gardien des murs à Gaza, au cours de laquelle des pierres ont été lancées de la localité sur la route côtière.

Le chef de l’opposition et chef du Likud, Netanyahu, a vivement attaqué ce matin la décision et a écrit sur son compte Facebook :

Le député Miki Zohar, du parti Likud, a déclaré qu’ « entre Jénine et Umm al-Fahm sont enterrés des milliards qui sont utilisés pour maintenir le Conseil de la Choura et au détriment de la sécurité de l’État et de son identité juive » et a tweeté :

Son collègue du parti, le député Yoav Kish, s’est joint à la protestation contre la décision et a attaqué les priorités du gouvernement :

De plus, même dans le sionisme religieux, ils étaient scandalisés par le transfert de fonds attendu. Dans un tweet publié par le président du parti, MK Smutrich, il a attaqué la reddition à sa méthode, le mouvement islamique et le consentement de Shaked à la décision :

Son partenaire de parti, le député Ben Gvir, qui dénonce souvent la coopération avec la RAAM, a ressenti du ressentiment face à la décision et s’est prononcé contre le Premier ministre, affirmant qu’il avait été victime de chantage :

Le député Mai Golan s’est également joint aux attaques contre le gouvernement et a déclaré : « La vente de la liquidation de l’État d’Israël est en cours. « Après avoir vendu le Néguev à Mansour Abbas, la vente s’est déplacée vers le centre du pays et ce n’est qu’une question de temps avant qu’ils n’atteignent également le nord. Que fera d’autre ce gouvernement pour assurer sa survie ? ! « 

Le mouvement Regavim a également attaqué le gouvernement pour le transfert des fonds et la décision de réduire la surveillance des constructions illégales. Le parti RAAM a pris en otage le gouvernement israélien, c’est lui qui définit en fait la politique du gouvernement. Il s’agit d’une violation sans précédent de l’État d’Israël, de la vision sioniste et de l’État de droit », déclare Meir Deutsch, directeur général du mouvement Regavim. « Vous avez atteint la pente glissante contre laquelle nous avons mis en garde tous les partis sionistes à la veille des élections. L’histoire ne sera pas oubliée. »