L’un des dirigeants du mouvement contre le Premier ministre, Sadi Ben Shitrit, a prononcé des paroles gravissimes lors de la manifestation et de nombreuses réactions de colère ont été exprimées suite à une telle comparaison digne des ennemis d’Israël.
Ben Shitrit a été filmé dans lequel il prononce les paroles suivantes lors d’une manifestation à Rosh HaAyin : «Il n’y a pas de pardon pour la destruction et les mauvais traitements de nos citoyens. Dans les années 1930, Hitler était l’oppresseur des Juifs. Il était en Allemagne et s’est comporté comme vous. » en s’adressant à Netanyahu.
זה סדי בן שטרית,
ממובילי מחאת קריים מיניסטר בבלפור.
הערב הוא משווה בין רה"מ @netanyahu ללא פחות *מהיטלר*!
אני מצפה להתנצלות גורפת מפיד שמאל, מהתנערות רבתית שלהם ומפתיחת מהדורות החדשות מחר עם אייטם על זה.
זה ככל הנראה לא יקרה,
אתם כבר יודעים למה pic.twitter.com/JGJ264RfQ3— Yaniv Turgeman (@YanivTurgi) November 18, 2020
Le président de la coalition, Mika Zohar, a tweeté jeudi soir : «Sadi Ben Shitrit a utilisé un langage terrible, y compris la diffamation. J’ai déposé une plainte auprès de la police et ce sera bientôt clair. Ses remarques laides sur le Premier ministre franchissent la ligne rouge par rapport à Hitler. Il s’agit d’une grave incitation passible d’une peine d’emprisonnement. J’attends de la police qu’elle enquête sur cette grave affaire. «
Yaniv Turgeman, qui a téléchargé la vidéo, exige des excuses de la gauche et l’apparition de l’histoire dans les médias ce matin : « Cela n’arrivera probablement pas, vous savez pourquoi. » Le tweet a déjà des centaines de partages.
Aujourd’hui, les gauchistes (du centre et de la gauche) n’ont plus de limite à leur haine et utilisent les victimes de la Shoah ou même du terrorisme pour attaquer le gouvernement actuel, au lieu d’attaquer directement les ennemis d’Israel. Cela prouve que ce mouvement n’a rien à voir avec la sécurité d’Israel ou son bien en général, mais sont ceux qui se font passer pour des « bons citoyens israéliens », mais qui représentent, en fait, la cinquième colonne.
