Le correspondant de Israel Hayom, Yehouda Schlesinger rapporte qu’une femme dans la ville de Elad prétend être possédée par un Dibouk (réincarnation d’une âme dans un autre corps). Le Beth Midrach « Yavia Omer » de Elad a attiré ces derniers jours de nombreux résidents qui souhaitent obtenir un aperçu de la femme à l’intérieur des locaux.

L’histoire a commencé; il y a six semaines, quand une résidente de Holon se tourna vers un certain nombre de Rabbanim expliquant qu’elle est possédée. Selon l’un des mékubalim (kabbaliste) impliqués, le Dibouk est entré par la bouche de la pauvre femme. Le couple a été envoyé chez le rav par un « avreich » (homme qui étudie dans un Beth Midrach) qu’ils connaissent.

La femme et son mari sont arrivés pour un tefilah (Prières)  spéciale qui comprenait l’utilisation des shofarot et la lecture des noms des Malachim (Nom des anges). Ce minyan spécial a été mené par un rav, avec la présence de Yehuda Schlesinger témoignant la situation dans le lieu bondé :  « Il est difficile de voir une femme assise au milieu de la pièce avec la voix d’un homme ».

Il ajoute que le rav a parlé avec le Dibouk et il sait maintenant qui il est : « Cet homme a assassiné une autre personne, il y a 70 ans et aujourd’hui il recherche le « pardon »de celui ci.

Selon le Rav, la femme connaît l’identité du « niftar » (personne qui a été assassiné par le Dibbouk) et a trouvé sa tombe, ajoutant : « Nous avons essayé de demander au Dibouk de sortir depuis un certain temps, le menaçant de l’envoyer à Gehinom (en enfer) ».

Il a en outre expliqué vouloir faire un effort particulier pour libérer la femme de cette situation :

« Nous avons essayé de faire sortir le Dibouk via l’orteil de la dame, qui a ensuite gonflé et puis on l’a vu remonter à la gorge et le corps a gonflé comme un ballon obligeant le corps à bouger. Les Rabbanim (Les rabbins) se sont alors tournés vers les mékubalim nistar (Kabbalistes anonymes) pour trouver une aide en la matière. »

A l’heure actuelle, la pauvre dame est toujours possédée.

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