Parmi les tués, au moins 1 220 civils, parmi lesquels il y avait 224 mineurs.
La plupart de ces civils, un total de 562, ont été tués par les bombardements de l’aviation du régime du président Bachar al-Assad.
Par ailleurs, le groupe terroriste islamique État (EI) a tué 303 civils, dont 285 sont morts lors de l’assaut des djihadistes à Kobani, une enclave kurde syrienne dans le nord du pays.
Pendant ce temps, dans les rangs de l’opposition, il y a 2 237 blessés: 564 combattants syriens de factions rebelles et les forces kurdes et huit déserteurs du régime et 1665 combattants étrangers de groupes extrémistes comme l’État islamique (AE), la filiale d’Al-Qaïda .
Pour sa part, les morts au sein des partisans du régime du président Bachar Al-Assad se comptent à 1554 victimes, dont 775 étaient des forces régulières, 642 milices pro-gouvernementales syriennes, 38 de l’organisation chiite libanaise du Hezbollah et 99 des groupes chiites et d’autres nationalités.
S’ajoutent au total des décès pour le Ramadan, quinze personnes dont l’identité est inconnue.
L’Observatoire n’exclut pas une augmentation du nombre de morts en raison des informations secrètes des différentes parties pour éviter l’accès des parties adverses à certaines zones de combat en apprenant ces informations.
La Syrie est le théâtre d’un conflit depuis la mi-Mars 2011, qui a causé plus de 230 000 morts, selon l’Observatoire.
L’ONU et le Tribunal de la HAYE préfèrent utiliser leur autorité sur un minuscule pays comme Israël et rejuger des affaires closes comme celui du Mavi Marmara.