Selon un rapport annuel, le chiffre des divorce en 2012 révèle que près de la moitié des dossiers de divorce sont ouverts sans le consentement des deux partenaires.
Ce rapport publié après une interruption de deux ans des tribunaux rabbiniques administratifs montre des signes de durcissement du traitement des maris récalcitrants en 2012, les tribunaux ont prononcé 60 sanctions contre des hommes manquant de reflexion, comparativement à 41 en 2011.
En outre, une unité spéciale de la direction permettant aux tribunaux d’obtenir un divorce pour les agunot a permis à 163 femmes de retrouver leur liberté lorsque les maris ont disparu en Israël et à l’étranger, contre 97 en 2011. Toutefois, le rapport ne donne pas le nombre d’épouses abandonnées et à qui on a refusé de donner le contrat de divorce vivant en Israël.
Les organisations des droits des femmes parlent des centaines de femmes qui ne reçoivent pas le guet (contrat de divorce). Les organisations se sont félicité des chiffres et en plus de ces données, on compte 156 ordonnances de protection pour les femmes contre la violence de leurs maris, contre 81 l’année précédente.