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Ce dimanche, les élèves de la 1re à la 3e année et les élèves de la maternelle devraient commencer les cours à plein temps, mais tous les parents et les enseignants ne sont pas d’accord avec cette décision.

Les comités de parents dans les communautés arabes s’opposent pour deux raisons : – le début du mois de Ramadan, qui exigera une discipline et un isolement plus rigoureux, et une augmentation de l’incidence dans le secteur arabe. Au cours des deux derniers jours, l’incidence dans les colonies arabes a augmenté de 6%, contre 1,8 pour le pays dans son ensemble.

Les autorités d’Umm al-Fahma et de Kafr Qassem ont déjà annoncé officiellement qu’elles n’ouvriraient pas d’écoles.

Tout n’est pas si simple dans la communauté juive.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Le groupe de propriétaires de jardins d’enfants discute de l’impossibilité de se conformer aux recommandations du ministère de la Santé. Il est impossible de ne pas toucher ni étreindre les petits enfants et de les approcher avec un masque : « Ils expérimentent un test sur notre compte. » Beaucoup craignent que l’ouverture d’établissements d’enseignement conduise à une nouvelle épidémie de coronavirus, qui sera plus forte que la première.

Les éducateurs plus âgés sont surpris de ne pas être autorisés à communiquer avec leurs propres petits-enfants, car ils sont à risque, mais autorisés avec les enfants des autres.

Des bouteilles contenant des désinfectants seront distribuées dans les écoles et, à la fin de la journée, toutes les surfaces seront traitées avec de l’eau de Javel, mais les parents doutent que les enfants puissent observer toutes les mesures d’hygiène.

Dans les réseaux sociaux, beaucoup écrivent qu’ils ne laisseront pas leurs enfants aller à l’école et au jardin d’enfants, malgré le fait qu’ils soient obligés de rester à la maison et de ne pas travailler.