Le média New Statesman rapporte en détails la comptabilisation des victimes de Gaza d’après un article de Donald Macintyre qui démontre par son article le manque de fiabilité de ses informations concernant les victimes palestiniennes.
L’article contient ce paragraphe:
» Un matin, j’ai visité les ruines d’une maison du camp de réfugiés de Khan Younis dans le sud de la bande de Gaza. Elle avait été occupée par les regrettés Mahmoud et Bassima al-Haj et leurs sept enfants, tous sauf un, avaient été tués par un F-16, suite à un bombardement au début de la guerre aérienne, à environ 01h30 le 10 Juillet. Vous pouvez chercher parmi les détritus, la vie de la famille dispersée au travers des décombres, T-shirts, tomates pourries au soleil, une sandale, une râpe à fromage et un cahier d’exercices, une couverture décorée avec des roses. Dans ce livre Asmaa al-Haj, 20 ans, fille du couple, est étudiante en biologie à l’Université……(nous cessons les détails de ce mensonge sordide)
Cependant, à la fin de cet article, l’auteur Macintyre a l’honnêteté d’ajouter une mise à jour qui nous dit que «toute la famille» de Badran n’a pas été en fin de compté tuée par un avion de chasse israélien :
Mise à jour 12 Août: la famille de Mohammed Badran s’est avéré ne pas avoir été tuée lors d’une attaque sur leur maison, comme cela avait été rapporté ici dans la confusion d’un hôpital de Shifa, les médecins dans l’unité des grands brûlés pensaient que le seul enfant rescapé avait perdu ses parents et tous ses frères et sœurs. En fait, bien que sept enfants de la famille Badrans aient également été blessés dans l’attaque (et non tués), y compris leur fils de 17 ans, Eman, qui est maintenant aussi à Shifa avec des blessures graves à la jambe, les parents de Mohammed ont survécu et ont pris soin de lui. «
Entre le brouillard de la guerre et la distorsion délibérée par le Hamas du nombre de victimes, les allégations de décès de civils palestiniens présumés sont-ils encore aujourd’hui dignes de confiance ?