Ce message a été envoyé par un infirmier du centre médical Shaare Zedek en colère qui condamne le traitement de faveur de l’hôpital envers les terroristes, qui sont bien plus importants que les patients israéliens selon ses propos :
» Je ne peux plus me taire et j’ai atteint la limite. J’en ai marre. Je travaille au centre médical Shaare Zedek et, à l’heure actuelle, deux terroristes ont tenté de tuer des soldats et ont reçu une balle dans la partie inférieure du corps. Je suis simplement choqué par le traitement réservé à ces « personnalités de marque » dans cet hôpital.
Un tel traitement pour les autres patients n’est qu’un rêve. Les terroristes ont des visites de leur famille et de leurs avocats jour et nuit, avec une nourriture raffinée, des soins attentifs et méticuleux, un médecin arrive toutes les demi-heures qui vient les contrôler (je n’exagère pas), ils ont une chambre privée.
Le terroriste a pour sa protection un soldat en tant que gardien de sécurité 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 (comme il se doit pour les personnalités VIP). Les soldats sont quant à eux bloqués par équipes et pendant 12 heures !!!
Le soldat n’a pas voulu vous écrire car il a peur des conséquences. La dernière goutte qui a fait débordé le vase est lorsque l’un des médecins a demandé à l’un des soldats de donner au terroriste des bonbons. Le soldat a alors refusé. Le médecin a attaqué verbalement le soldat et lui a dit : «Alors, pourquoi êtes-vous venu ici si ce n’est pas pour lui apporter de délicieux bonbons ? Il est allé et a amené au terroriste plein de bonbons. Le pauvre soldat ne savait pas quoi faire et comment réagir et s’est assis sur le côté, humilié dans sa chair, et mon cœur était en feu (inutile de préciser quel est le point de vue du médecin (un traite de gauchiste) ?
En tout cas, je souhaite partager cette situation pour que tout le monde voit cette honte en Israël ! Tout le personnel en a marre de cette honte, mais il ne faut pas dire un mot. C’est tout simplement dommage qu’au nom de la moralité, les terroristes reçoivent ce que les civils et les soldats ne peuvent que rêver et agir envers eux comme si qu’ils sont des héros.
Il faut partager mon témoignage, afin que les choses changent ».