Pour couvrir les coûts de la guerre et tenter de réduire le déficit budgétaire pour l’année à venir, le Département du Trésor a publié un projet de loi qui obligerait les travailleurs des secteurs privé et public à apporter une « contribution » au budget de guerre. Si la loi est adoptée, chaque employé devra dire au revoir à plusieurs centaines de shekels pour le bien du pays.

Nous parlons de « prestations de santé », qui sont calculées année par jour et versées une fois par an en juin. Selon le texte de loi, les salariés devront volontairement et obligatoirement donner une journée de salaire sur le montant total de l’indemnité « bien-être ». Pour les travailleurs du secteur privé, le coût d’une journée est de 418 shekels, tandis que les employés du secteur public « feront don » de 470 shekels.

Selon les calculs du ministère des Finances, cette mesure devrait permettre au Trésor public d’économiser 1,7 milliard de shekels.

La décision prise dans l’accord entre le ministère des Finances et la Histadrout nécessite encore la signature du ministre du Travail Yoav Ben-Tzur, qui devrait la signer.

Il a également été décidé de geler le coût d’une journée de restauration en 2024. Comme l’inflation était de 3 % l’année dernière, chaque travailleur perdra en réalité environ 13 shekels pour chaque jour de récupération sur le montant qu’il recevra cet été.