Photo : Les ambulanciers paramédicaux qui ont traité le bébé selon le porte-parole de Tsahal

Si l’un de vous lit cet événement dans n’importe quels médias en dehors d’Israël, s’il vous plaît poster le dans les commentaires. Ce genre d’histoire n’est pas intéressant pour la foule anti-israélienne.

Ce lundi matin, les ambulanciers paramédicaux de Tsahal près de la ville juive de Halamish (Neve Tzouf) en Judée Samarie ont sauvé la vie d’un nourrisson âgé à peine de 10 jours. Un bébé «Palestinien»qui souffrait de détresse respiratoire. (pardonnez moi mais à ce moment précis, je ne peux m’empêcher du bébé d’Itamar de 3 mois qui est mort suite à la rupture de trachée artère par décapitation lorsque deux palestiniens ont décidé ce soir de Chabbath de tuer une famille entière pendant leur sommeil)

Très tôt, dans la mâtiné, la mère palestinienne avec son bébé se sont dirigés vers la frontière car sa fille étant malade , elle voulait demander de l’aide aux soldats.

Un soldat qui était de garde, a remarqué la détresse de la mère, et a immédiatement appelé un médecin du bataillon, le lieutenant-colonel Michael Findlar.

« Le bébé a souffert de détresse respiratoire sévère et de vomissements », a déclaré le médecin militaire. «Nous avons immédiatement commencé à administrer les premiers secours et stabilisé son état.

« Bien que plusieurs d’entre nous prenions soin de l’enfant, un autre soldat a appelé une ambulance pour l’évacuer à l’hôpital » at-il dit.

Selon le Dr Findlar, ce n’était pas le premier incident du genre. Les Palestiniens locaux savent très bien qu’ils sont mieux lotis en se tournant vers les soldats de Tsahal qu’au cours d’une urgence médicale dans leur ville.

 « C’est le troisième incident du genre en deux semaines. Ils savent que nous avons une infirmerie et une ambulance militaire, » a noté Findlar.

Pour les deux autres incidents, le «Palestiniens» ont été transférés vers des hôpitaux israéliens pour être traités et non pas à des hôpitaux palestiniens. Et ils nous accusent d’apartheid…

Envoyez cette histoire aux médias français, le Monde,  l’Express, ….ou directement à TF1 ou France 2….et rien ne sera diffusé sur le sujet.

 

6 Commentaires

  1. tous les jours les lmedecins israeliens sauvent des enfants palestiniens . ma belle fille valérie a accouché dans la chambre 3 palestiniennes et elle seule juive alors qu’elles se parlaient entre elles valérieétait isolée.

  2. Merci à vous de faire aussi passer cette info.

    Merci à toutes et tous de faire tourner sans modération ces informations sur les conditions de vie des prisonniers palestiniens afin que le monde sache ce qu’est l’État criminel d’Israël et ces soutiens comme l’AIPAC pour les USA et le CRIF pour la France.
    Ces assassins de sionistes sont les clones du Troisième Reich.

    Quelques précisions données hier (18/04) à Marseille par
    Salah Hamouri ancien prisonnier des geôles Israélienne sur les conditions de vie des prisonniers palestiniens.

    Enfants.
    Totalement privés de présence adulte. Jamais d’ONG auprès d’eux.
    Interdiction de continuer des études ou d’avoir des livres.
    Pas de visites (pour certains, pas depuis 2006 !)
    Exemple de maltraitance : les transferts au tribunal. Debout à 4h du matin, puis enfermés dans une petit pièce en isolement jusqu’à 10 ou 11H. Fouille.
    Menottes. Arrivée des forces spéciales. 2e Fouille. Transfert dans un bus dont l’intérieur est entièrement métallique (four en été, congélateur en hiver). Le transfert peut durer plusieurs heurs. A l’arrivée à la prison dont dépend le tribunal : 3e fouille. Chaque enfant passe ensuite environ 3 jours en isolement. Jour J du tribunal : lever à l’aube. 4e fouille en présence de chiens. Attente dans une pièce ouverte à la pluie, de 7h du matin jusqu’à parfois 7h du soir. Interdiction aux parents, s’ils sont présents, de les approcher. L’avocat ne peut pas s’approcher de l’enfant à moins d’un mètre.

    Prisonniers de Gaza.
    Ils sont environ 500. Certains ne voient plus leurs familles depuis 2006. Ne sont prévenus parfois que des semaines après du décès d’un des leurs. Si visite il y a
    enfin, cela peut être un instrument de torture : cas d’une mère en démence sénile
    débutante qui n’a pu reconnaître son fils à travers les vitres blindées. Le prisonnier n’a pas pu se rapprocher de sa mère et encore moins la toucher.

    Prisonniers malades.
    Ils sont environ 400. 18 ont un cancer, ils devraient recevoir des soins à l’extérieur : refusé.
    Cas d’un prisonnier aveugle, enfermé depuis 25 ans : qui a besoin d’aide tout le temps.
    Handicapés mentaux. L’un, placé en isolement pendant un an, est mort en
    isolement.

    Salah Hamouri a relaté la grève de la faim de 20 jours à laquelle il a participé en Sept.Oct.2011. Les 3 premiers jours les plus durs. On finit par leur confisquer le sel (qui permettait une rétention d’eau dans le corps). Perte d’énergie de + en + grande, ils finissent par calculer le nombre de pas qu’ils doivent faire. Mais les gardiens les obligent à marcher. Pour les fatiguer encore plus, les Israéliens les transfèrent d’une prison à une autre. Les gardiens ont voulu en intuber certains de force, pour leur administrer du lait, mais pour deux, ils ont intubé dans les

    bronches, et bien sûr les deux prisonniers sont immédiatement morts noyés, asphyxiés. 4 jeunes de 18-19 ans qui avaient perdu 15 kg ont été placés 2 par 2 dans une petite cellule où étaient des criminels israéliens, qui ont fait devant eux un barbecue.

    ACTUELLEMENT : 1600 PRISONNIERS EN GRÈVE DE LA FAIM
    illimitée.
    Contre : l’isolement qui peut durer jusqu’à 8 ans (15 ans pour l’un d’eux !), car reconductible tous les 6 mois par le tribunal militaire. Dans ce régime : toute
    affaire personnelle confisquée, une heure par jour dans la cour de la prison,
    seul, menotté (mains ou pieds). Ni lettres ni visites. Ni livres, ni études. D’où :
    développement de troubles psychologiques.

    Israël va tout faire pour casser la grève.

    NOTRE PRIORITÉ : LE FAIRE SAVOIR, LES SOUTENIR !

  3. Merci à vous les nazis sionistes d’informer le publier cet article

    L’arpatheid israélien sur l’eau

    60% des eaux israélienne viennent hors de l’espace national.

    L’eau recolté par le Jourdain :
    46% du débit bénéficie à Israël.
    25% du débit bébénfie à la Syrie.
    23,5% du débit bénéficie à la Jordanie.
    5% du débit pour la Palestine.

    Aucun recours à des usines d’épuration pour les palestiniens.

    Plus de 200.000 palestiniens de 220 localités et villages de
    Cijordanie ne sont pas reliés à un réseau de distribution d’eau, si
    bien qu’ils sont obliger d’acheter au noir dont le prix est six fois
    plus élevés que les tarifs payés par les israéliens.

    Dans certaines zones de la Cisjordanie, les colons israéliens
    consomment jusqu’à 20 fois plus d’eau par personne que leurs voisins
    palestiniens, qui survivent avec à peine 20 litres d’eau par jour et
    par personne, soit la quantité minimale recommandée par l’OMS en
    situation d’urgence

    Environ 90% de l’eau disponible dans la bande de Gaza est contaminée
    et impropre à la consommation humaine ce qui affecte l’hygiène, les
    activités agricoles, indistriel et de l’élevage.

    La consommation d’eau des palestiniens atteint à peine 70 litres par
    personne et par jour, soit une quantité bien inférieure au 100 litres
    minimum par personne et par jour recommandé par l’organisation
    mondiale de la santé.

    L’armée israélienne contrôle l’accès aux routes que les camions-
    citernes doivent emprunter pour ravitailler les villages palestiniens
    non reliés au réseau d’approvisionnement en eau. La circulation des
    véhicules palestiniens est interdite ou restreinte sur de nombreuses
    routes, entraînant des retards ou obligeant les camionneurs à faire de
    longs détours, ce qui accroît considérablement le prix de l’eau.

    La seule ressource en eau de Gaza, la nappe aquifère côtière, qui ne
    suffit pas aux besoins de la population et s’épuise progressivement en
    raison de la surexploitation, est de plus contaminée par des
    infiltrations d’eaux usées et d’eau de mer.Les restrictions sévères
    imposées par Israël à l’entrée à Gaza de matériaux et d’engins
    nécessaires à l’extension et à la réparation des infrastructures ont
    entraîné une nette dégradation de la situation sanitaire et de
    l’approvisionnement en eau.

  4. Un ami Juif vous parle

    Lettre de Danielle Bleitrach au président du CRIF

    Personne n’hérite des victimes …

    Monsieur le Président du CRIF,

    je me permets de me présenter, je m’appelle Danielle Bleitrach et je suis un professeur d’université à la retraite. Je suis née en 1938 et ma petite enfance a été marquée par la peur, la fuite devant le nazisme. J’en ai conservé une répulsion face à l’antisémitisme et toutes les formes de racisme, dix huit membres de ma famille ont été déportés, une seule d’entre eux est revenu et encore est-ce parce que sa mère à l’appel de son nom pour la chambre à gaz s’est jeté en avant à sa place.

    Donc si mon choix n’a jamais été le sionisme pour des raisons qu’il serait trop long de vous expliquer je n’accepterai jamais que quiconque soit inquiété, traqué, humilié parce qu’il est né dans une famille juive, musulmane ou chrétienne. je suis capable croyez le bien de la pire des réactions devant un antisémite ou un négationniste.

    Mais comme le disait Einstein je regrette que certains juifs n’aient tiré aucune leçon humaine de deux mille ans de martyre et de l’horreur de la Shoah. dois-je vous rappeler la suite des paroles d’Einstein : “Si les juifs ne se souvenaient pas des leçons de 2000 ans de martyre, ils mériteraient ce qu’il adviendrait d’eux”. Tous les jours je crains que la folie, le bellicisme d’israêl débouche sur une issue fatale et tous les jours j’espère en une autre issue de paix. Parce que c’est là le destin que la haine de l’autre prépare pour les juifs israéliens et à cette seule idée je revis les cauchemars de ma petite enfance. Il faut absolument aboutir à ce que le peuple israélien, juifs et arabes aient une patrie et que le peuple palestinien jouisse lui aussi d’une patrie viable.

    Attiser la haine c’est vouer au malheur alors que nous avons tous un rôle à jouer, et vous plus que quiconque dans la recherche de la paix dans la justice. Un juif sait que sans justice il n’y a pas de paix pour personne et les prophètes du peuple juif n’ont cessé de proclamer cette nécessité de la justice. La survie de beaucoup d’entre nous a dépendu de justes qui refusaient l’iniquité des leurs.

    Votre fonction vous oblige à vous souvenir de cette leçon qu’Einstein demandait de ne jamais oublier, c’est la survie et l’honneur de ce peuple qui se joue entre israéliens et palestiniens et les juifs doivent aider à ce que triomphe la paix et la justice pas d’attiser de l’extérieur des souffrances qui n’ont que trop duré.

    Et je tiens à l’honneur de mon peuple parce que j’appartiens à ce peuple juif, c’est Hitler qui m’a définie dans cette appartenance comme j’appartiens à la nation française, c’est donc à ce double titre que j’exige de vous la dignité de ceux que vous reprpésentez et que vous vous conformiez au rôle de pacificateur que l’immense majorité des juifs français attend de vous.

    Je pense monsieur le président que vos récentes interventions, la manière dont vous avez tronqué les propos de Salah hamouri sont un déshonneur pour le peuple juif et pour les citoyens français et cela témoigne d’une volonté d’attiser les haines.

    Comment vous monsieur le Président du CRIF non content d’encourager au bellicisme, de refuser la sagesse de l’apaisement vous vous permettez de prendre en otage les juifs français dans des combats misérables ? Non content d’avoir tout fait pour qu’il y ait le silence sur l’enfermement pendant sept ans un jeune homme français dont rien ne démontre la culpabilité et dont la victime supposée est bel et bien en vie, non content d’avoir encouragé cet acte inique contre un de nos concitoyen, vous mentez sur ses propos, pour développer autour de lui dès son retour la haine, voir le crime.

    L’insulte est grande et elle exige réparation.

    Monsieur nous sommes dans la période de Hannouka, la fête des lumières, celle de l’identité juive confirmée retrouvée et vous osez vous mal conduire à ce point, vous devez envoyer une lettre officielle, publique à Salah hammouri dans laquelle vous demanderez qu’il vous pardonne après sept ans de prison de l’avoir sali, cela vous honorera, nous honorera tous.

    J’attends votre réponse et je suis certaine que vous aurez à coeur de vous montrer à la hauteur de votre fonction, de ceux que vous représentez et des lumières du judaïsme qui veille sur l’humanité., sur toute l’humanité, pas seulement sur les juifs, c’est cela son élection cette universalité.

    Danielle Bleitrach

  5. Vous qui faites de la shoah votre fond de commerce, dans ces citations, elle se trouvent où la différence avec la pensée nazie. Merci de me répondre.

    Citations provenant des principales personnalités historiques sionistes, exprimant sans masque, le programme sioniste de génocide des palestiniens.

    « Nous devons expulser les arabes et prendre leur place ».
    David Ben Gurion 1937, futur premier ministre d’Israël.

    « Nous devons tuer tous les palestiniens à moins qu’ils ne soient résignés à vivre en tant qu’esclaves ».
    Président Heilbrun, du comité pour la réélection du général Shlomo Lehat, maire de Tel-Aviv, octobre 1987.

    « Nous devons utiliser la terreur, les assassinats, l’intimidation, la confiscation des terres et l’arrêt de tous les programmes sociaux afin de débarrasser la Galilée de sa population arabe ».
    Israël Koenig, « The Koenig memorandum ».

    « La seule solution est Eretz Israel (Grand Israël), ou au moins Eretz Israel Ouest (toutes les terres à l’ouest du Jourdain), sans les arabes. Il n’y a pas de place pour un compromis sur ce point. Nous ne devons pas laisser un seul village, pas une seule tribu ».
    Joseph Weitz, directeur du Fond national juif, 1973.

    « Une terre sans peuple avec un peuple sans terre »,
    Israel Zangwill (propagandiste sioniste), il y a environ cent ans.

    Après avoir visité la Palestine en 1891, l’essayiste hébreu Achad Ha-Am a commenté : « A l’étranger nous sommes habitués à croire qu’Israël est presque vide ; que rien n’y pousse et celui qui veut acheter de la terre peut aller là-bas acheter les terres qu’il désire. En réalité, la situation n’est pas ainsi. Dans ce pays, il est difficile de trouver une terre cultivable qui ne soit déjà cultivée ».

    « Comment pourrions-nous rendre les territoires occupés ? Il n’y a personne à qui les rendre ».
    Golda Meir, premier ministre d’Israël, 8 mars 1969.

    « Il n’y a jamais rien eu de tel puisque les palestiniens n’ont jamais existé ».
    Golda Meir, premier ministre israélien, 15 juin 1969.

    « Les palestiniens » seront écrasés comme des sauterelles … leurs têtes éclatés contre les rochers et les murs ».
    Yitzhak Shamir, premier ministre israélien, 1er avril 1988.

    « Le sang juif et le sang des « goys » (non-juifs) ne sont pas les mêmes ».
    Le rabbin israélien Yitzhak Ginsburg, concluant que tuer n’est pas un crime si les victimes ne sont pas juives. Jerusalem Post, 19 juin 1989.

    « Chasser la population pauvre (les arabes) au-delà de la frontière en lui refusant du travail. Le processus d’expropriation et de déplacement des pauvres doit être mené discrètement et avec circonspection ».
    Théodore Herzl, fondateur de l’Organisation sioniste mondiale, note du 12 juin 1895.

    Description par Rabin de la conquête de Lydda, après l’achèvement du plan Dalet. « Nous réduirons la population arabe à une communauté de coupeurs de bois et de serveurs ».
    Uri Lubrani, conseiller spécial aux Affaires arabes de Ben Gurion, 1960, tiré de « The Arabs in Israel » par Sabri Jiryias.

    « Les palestiniens sont comme les crocodiles, plus vous leur donnez de viande, plus ils en veulent … ».
    Ehud Barak, premier ministre israélien, 28 août 2000, Jerusalem post du 30 août 2000.

    « Les palestiniens sont des bêtes qui marchent sur deux jambes ».
    Menahem Begin, discours à la Knesset, cité dans Amnon Kapeliouk, « Begin and the beast » «(Begin et les bêtes), New Statesman, 25 juin 1982.

    « Il y a une énorme différence entre nous (les juifs), et nos ennemis. Pas seulement dans la capacité, mais dans la morale, la culture, le caractère sacré de la vie et la conscience. Ils sont nos voisins ici, mais c’est comme si à quelques centaines de mètres, il y avait un peuple qui n’appartenait pas à notre continent, à notre monde, qui appartenait véritablement à une autre galaxie ».
    Président israélien Moshe Katsav, Jerusalem Post, 10 mai 2001.

    « Nous devons tout faire pour nous assurer qu’ils (les palestiniens) ne reviennent pas » … « Les vieux mourront et les jeunes oublieront ».
    David Ben Gurion, journal du 18 juillet 1948.

    « Lorsque nous aurons colonisé le pays, il ne restera plus aux arabes que de tourner en rond comme des cafards drogués dans une bouteille ».
    Raphael Eitan, chef d’Etat major des forces de défense israéliennes (Tsahal), New york Times, 14 avril 1983.

    « La thèse d’un danger d’un génocide qui nous menaçait en juin 67 et qu’Israêl se battait pour son existence physique était seulement du bluff, créé et développé après la guerre ». Général Matityaha Pelet, Ha’aretz, 19 mars 1972.

    « C’est le devoir des leaders israéliens d’expliquer à l’opinion publique, clairement et courageusement, un certain nombre de faits qui ont été oubliés avec le temps. Le premier de ces faits, c’est qu’il n’y a pas de sionisme, de colonisation ou d’Etat juif, sans l’éviction des arabes et l’expropriation de leurs terres ».
    Yoram Bar Poreht, Yediot Aahronot, 12 juillet 1972.

    « La population doit se préparer à la guerre, mais il revient à l’armée israélienne de poursuivre le combat avec l’objectif ultime qui est la création de l’Empire israélien ». Moshe Dayan, ministre israélien de la défense et des affaires étrangères, 12 février 1952 Radio Israel.

    « Des villages juifs ont été construits à la place des villages arabes. Vous ne connaissez pas le nom de ces villages et je ne vous le reproche pas, car les livres de géographie n’existent plus. Et non seulement les livres, mais les villages n’existent plus. Nahahal a remplacé Mahahul, le Kibbutz Gevat a remplacé Jubta, le Kibbutz Sarid a remplacé Hanifas et Kafr Yehoushua celle de tel Shaman. Il n’y a pas un seul endroit dans ce pays qui n’a pas une ancienne population arabe ».
    Moshe Dayan, discours au Technion, Haifa, repris dans Ha’aretz, 4 avril 1969.

    « … si les gens s’habituent à cette donnée et que nous soyons réellement obligés d’accepter le retour des réfugiés, il pourrait être difficile pour nous, quand nous seront confrontés à des hordes de plaignants, de convaincre le monde qu’ils ne vivaient pas tous sur le territoire israélien. Quoi qu’il arrive, il serait souhaitable de réduire au minimum leur nombre … sinon ».
    Arthur Lourie, responsable israélien, dans une lettre à Walter Eytan, directeur général du ministère des affaires étrangères israélien (ISA FM 2564/22). D’après Benny Morris, « Naissance du problème des réfugiés palestiniens 1947-49 », p. 297.

    « Une réconciliation volontaire avec les arabes est hors de question, que ce soit maintenant ou dans le futur. Si vous souhaitez coloniser un pays dans lequel une population vit déjà, vous devez fournir une armée pour le pays ou trouver quelque riche personne ou bienfaiteur qui vous la fournirait. Sinon, abandonnez la colonisation, parce que sans une force armée, qui rendrait physiquement impossible toute tentative de détruire ou d’empêcher cette colonisation, la colonisation sera impossible, pas difficile, pas dangereuse, mais IMPOSSIBLE. Le sionisme est une aventure de colonisation et c’est pour cela qu’elle est dépendante d’une force armée. Il est important … de parler hébreu, mais malheureusement, il est encore plus important d’être capable de tirer, ou bien je termine le jeu de la colonisation.
    Vladimir Jabotinsky, fondateur du sionisme révisioniste (précurseur du likoud), Le Mur de fer, 1923.

    « La colonisation sioniste doit être exécutée contre la volonté de la population autochtone.
    C’est pourquoi cette colonisation doit continuer seulement sous la protection d’une puissance indépendante de la population locale, tel un mur de fer capable de résister à la pression de la population locale. Ceci est notre politique à l’égard des arabes.
    Vladimir Jabotinsky, Le Mur de fer, 1923.

    « Entre nous soit dit, il doit être clair qu’il n’y a pas de place pour deux peuples dans ce pays. Nous n’atteindrons pas notre but si les arabes sont dans ce pays. Il n’y a pas d’autres possibilités que de transférer les arabes d’ici vers les pays voisins – tous. Pas un seul village, pas une seule tribu ne doit rester.
    Joseph Weitz, chef du département colonisation de l’Agence juive en 1940, tiré de « A solution to the refugee problem ».

    « Israël aurait dû exploiter la répression des manifestations en Chine lorsque l’attention du monde s’est focalisée sur ce pays, pour mettre à exécution des expulsions massives parmi les arabes des territoires ».
    Benyamin Netanyahu, alors député israélien au ministère des affaires étrangères, ancien premier ministre d’Israël, s’exprimant devant des étudiants à l’université de Bar Ilan, tiré du journal israélien « Hotam », du 24 novembre 1989.

    « A-t-on vu un seul peuple abandonner son territoire de sa propre volonté ? De la même façon, les arabes de Palestine n’abandonneront pas leur souveraineté sans l’usage de la violence».
    Vladimir Jabotinsky (fondateur et partisan des organisations terroristes sionistes), cité par Maxime Rodinson dans « Peuple juif ou problème juif » (Jewish people or jewish problem).

    « Si j’étais un leader arabe, je ne signerais jamais un accord avec Israël. C’est normal, nous avons pris leur pays. C’est vrai que Dieu nous l’a promis, mais en quoi cela les concerne ? Notre dieu n’est pas le leur. Il y a eu l’antisémitisme, les nazis, Hitler, Auschwitz, mais était-ce de leur faute ? Ils ne voient qu’une seule chose : nous avons volé leur pays. Pourquoi devraient-ils l’accepter ?
    David Ben Gurion, le premier ministre israélien, cité par Nahum Goldman dans le paradoxe juif, p. 121.

    « Nous déclarons ouvertement que les arabes n’ont aucun droit de s’établir sur ne serait-ce un seul centimètre du Grand Israël …
    La force est l’unique chose qu’ils comprennent. Nous devons utiliser la force absolue jusqu’à ce que les palestiniens viennent ramper devant nous ».
    Raphael Eitan, chef d’Etat-major des forces de la défense israéliennes. Gad Becker, Yediot Aharonot, 13 avril 1983, New York Times, le 14 avril 1983.

    « Si l’assemblée générale devait voter par 121 voix contre une le retour aux frontières de l’armistice (frontière d’avant juin 1967), Israël refuserait de se plier à cette décision ».
    Aba Aban, ministre israélien des affaires étrangères. New York Times, 9 juin 1967.

    « Chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que l’Amérique fera ceci ou fera cela …
    Je vais vous dire quelque chose de très clair :
    Ne vous préoccupez pas de la pression de l’Amérique sur Israël, nous, les juifs, contrôlons l’Amérique, et les américains le savent ».
    Le premier ministre israélien Ariel Sharon, 3 octobre 2001, à Shimon Péres, cité sur la radio Kol Yisrael.

    « Parmi les phénomène politique les plus inquiétants de notre temps, il y a l’émergence, dans l’Etat nouvellement créé d’Israël, d’un parti de la Liberté (Herut), un parti politique très proche, dans son organisation, ses méthodes, sa philosophie politique et son appel social, des nazis et des partis fascistes. Begin et Yitzhak Shamir qui étaient membres de ce parti sont devenus premiers ministres ».
    Albert Einstein.
    Hana Arendt et d’autres juifs américains célèbres, ont écrit dans le New York Times, pour protester contre la visite en Amérique de Begin, en décembre 1948.

    « La carte actuelle de la Palestine a été dessinée sous le mandat britannique. Le peuple juif possède une autre carte que les jeunes et les adultes doivent s’efforcer de mener à bien : celle du Nil à l’Euphrate ».
    Ben Gurion.

    « Nous devons affronter la réalité qu’Israël n’est ni innocent, ni rédempteur. Et que lors de sa création et de son expansion, nous les juifs avons créé ce dont nous avons souffert historiquement : une population de réfugiés dans une diaspora ».
    Martin Buber, philosophe juif, s’adressant au premier ministre Ben Gurion, sur le caractère moral de l’Etat d’Israël en faisant référence aux réfugiés arabes en mars 1949.

    « Quand nous (disciples du judaïsme prophétique) nous sommes retournés en Palestine … la majorité des juifs, ont préféré apprendre d’Hitler plutôt que de nous ».
    Martin Buber, au public de New York. Jewish Newletter, 2 juin 1958.

    « Le pouvoir légal d’Hitler était basé sur le « décret de loi », qui était voté tout à fait légalement par le Reichstag et qui permettait au Führer et à ses représentants, en langage simple, de faire ce qu’ils voulaient, ou en langage juridique, de publier des décrets ayant pouvoir de loi. Exactement le même type de loi votée par la Knesset (le parlement israélien) juste après la conquête de 1967, accordant au gouvernement israélien, et à ses représentants le pouvoir d’Hitler, qu’ils utilisent de façon hitlérienne ».
    Docteur Israel Shahak, président de la Ligue israélienne pour les droits de l’homme et les droits civiques, survivant du camp de concentration de Bergen Belsen, commentant les lois d’urgence de l’armée israélienne suite à la guerre de 1967.
    Palestine, vol. 12, décembre 1983.

    « Nous sommes sortis, accompagnés par Ben Gurion. Allon a répété sa question : « Que devons-nous faire avec la population palestinienne ? » Ben Gurion a levé sa main dans un geste qui voulait dire : « Chassez-les » ».
    Yitzhak Rabin, version censurée des mémoires de Rabin, publiées dans le New York times, 23 octobre 1979.

    A l’origine :

    Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif, et emploiera tous ses efforts pour faciliter la réalisation de cet objectif, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte ni aux droits civils et religieux des collectivités non-juives en Palestine, ni aux droits dont les juifs jouissent dans tout autre pays.
    Déclaration de Balfour au Baron Rothschild, le 2 novembre 1917.