Il qualifie d’« assourdissant » le silence relatif qui règne dans la région. L’Iran semble avoir abandonné l’attaque, « mais les armes sont toujours braquées ».
Ignatius écrit que même si Netanyahu a accepté certaines concessions, il insiste toujours sur la présence des forces israéliennes dans l’Axe de Philadelphie. Quant au Hamas, il n’apporte pas de réponse à la dernière phrase.
Yahya Sinwar ne peut plus se battre, mais continue d’espérer que le Hezbollah déclenchera une grande guerre dans le nord d’Israël et que cela détournera l’armée israélienne de la bande de Gaza.
Les responsables américains craignent que Téhéran n’encourage le Hezbollah à attaquer. Les États-Unis ont donné quatre jours au Hamas pour formuler une réponse. La journée est déjà passée. Le Hamas s’est également vu poser des questions de base : lister les noms des otages qui pourraient être libérés et une liste des terroristes dans les prisons israéliennes.