Les médias ont évité de montrer à quel point Yair Lapid est loin de rassembler le peuple juif, mais surtout de le diviser et le placer dans une situation économique catastrophique en votant une après l’autre des restrictions budgétaires contre les citoyens avec des revenus moyens, entraînant directement une baisse de l’économie locale dans le pays, vu les aides sociales en forte baisse.

Sur sa page Facebook (pas à la synagogue), Yair Lapid s’adresse à D…., la veille de Yom Kippour :

« J’ai de quoi demander pardon, Maître de l’Univers, pas pour les erreurs de Yesh Atid, mais pour ce que nous n’avons pas encore changé. Tant qu’il n’y a pas de mariage civil, et des transports publics pour Shabbat, tout cela parce que il y des gens qui pensent parler en Ton nom, nous avons encore de quoi changer. Tant que nous n’avons pas complété le processus historique du service militaire pour les Haredim et leur permettre d’entrer dans le monde du travail, nous avons de quoi changer. »

 » J’ai parcouru le pays d’un endroit à l’autre, en essayant de convaincre la classe moyenne israélienne de restaurer les armes du pays. Quelques mois plus tard, il y a eu des élections, et il y a moins d’une demi-année, j’ai été nommé ministre des Finances. J’ai découvert l’ampleur alarmante du découvert qui nous a tous été caché. Pour le refermer, nous avons dû prendre des mesures douloureuses. Nous l’avons fait, et cela fait mal, mais c’était le seul moyen de sauver la défaillance au sein de la classe moyenne israélienne. Il fut un temps, mais aujourd’hui, nous devions agir comme une urgence.

 » Tant qu’en Israël, un enfant n’a pas d’argent pour la nourriture ou des manuels scolaires, nous devons changer les choses. Tant qu’il y a un survivant de la Shoah qui n’a pas de table de Chabbat pour s’asseoir, nous avons quelque chose à changer. Tant qu’il y a un jeune couple qui ne peut pas acheter un appartement à un prix raisonnable, nous avons quelque chose à changer ( Pour rappel Lapid a supprimé la Loi qui permettait aux jeunes couples d’obtenir un crédit à taux O, pour leur première année de mariage).

« Aucun jeune ne devrait souffrir de l’inégalité, que l’éducation (il suffit de comparer, les écoles de l’Etat et privées pour vérifier), il faut une égalité des chances, de l’emploi, des salaires équitables (40 nis de l’heure à Tel Aviv, et 21 nis dans le Neguev), nous avons quelque chose à changer. Tant qu’il n’y a pas de mariage civil en Israël, et de transports publiques, le Shabbat, parce que les gens pensent, qu’ils parlent en votre Nom, nous avons quelque chose à changer.

 » Tant que le processus de paix ne change pas la réalité, nous avons quelque chose à changer. Tant que le système d’éducation n’est pas devenu un pôle d’excellence et des valeurs inégalées dans le monde, nous avons quelque chose à changer. Tant que les magnats continuent à diviser le pays eux-mêmes sans s’inquiéter à ce sujet, ils auront besoin de nous rendre des comptes, nous avons quelque chose à changer.

« Tant que les petites entreprises continuent de lutter pour joindre les deux bouts, nous savons ce qu’il faut changer. Tant que notre discours public continue d’être puriste, violent et superficielle, et extrême, nous avons quelque chose à changer. Tant que notre politique ne donne pas des résultats, nous avons quelque chose à changer …

Ya’akov Asher (du mouvement orthodoxe United torah) a réagit à ce monologue de Yair Lapid :

« Même la veille de Kippour, un jour qui unit tous les Juifs, Lapid a décidé de cracher son venin, et créer la discorde parmi la nation. »

 

3 Commentaires

  1. S’adresser à D’, via Facebook, pour dire qu’il regrette de ne pas avoir fait asser contre la Thora (toujours en s’adressant à D’)…… jpense qu’il ne vivra pas longtemps, et je suis sur qu’au guéhinam il auras sa place avec les ennemis de D’, juste à coté d’amalek