« Le BNVCA dénonce et condamne l’agression violente à caractère antisémite commise contre deux jeunes juifs par plusieurs individus, le 21 février 2017 vers 21h 15 avenue Gallieni à Bondy 93.
Selon le père des victimes, qui occupe une responsabilité importante dans la communauté juive de Bondy, ses deux fils qui ont la tête couverte d’une kippa circulaient à bord de leur véhicule sur la RN3.
Ils auraient été repérés et abordés par les 2 occupants d’une camionnette qui, après avoir opéré des « queues de poisson », ont tenté de les faire se déporter pour quitter la route, les obligeant à se diriger vers un lieu connu d’eux mêmes.
Arrivés à leur hauteur, ils leur crient « SALES JUIFS CONNARDS VOUS ALLEZ MOURIR » puis ils les contraignent à s’arrêter à proximité d’un bar « shisha » d’où sont sortis d’autres individus pour leur prêter main forte, et attaquer violemment les deux jeunes juifs, les frapper à coups de pieds et de poings, et criant « SI TU BOUGES JE TE TUE ».
L’un des agresseur était armé d’une scie égoïne avec laquelle il a coupé un doigt de la main de l’un des jeunes victimes. Choqués, blessés, les jeunes juifs se sont rendus à l’hôpital et ont déposé plainte.
Le BNVCA demande à la police de tout mettre en oeuvre pour identifier les agresseurs anti-juifs, un père et son fils décrits comme d’origine nord africaine.
Le BNVCA a décidé de mettre ses conseils Maître Sabine Tourjman et Maître Charles Baccouche à la disposition des deux victimes juives pour défendre leurs intérêts et les assister juridiquement. »
MISE A JOUR : 09:15:58
Suite au communiqué de Mr Sammy Ghozlan, de la BNCVA , concernant un doigt sectionné, nous signalons une erreur, en effet, nous avons été contacté par un proche de la famille, qui nous affirme que ce n’est pas le cas, qu’il y a bien eu une blessure, et que l’agresseur a bien tenté de lui couper le doigt, et le jeune juif a subi quelques points de sutures et a gardé son doigt.
ILS sont déjà à Marseille pour prendre le premier ferry pour l’algémerde et continuer à toucher le R S A ce pays d’enculés