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“Tristesse et pensées pour celles et ceux qui sont tombés à Pittsburgh lors de la fusillade. Nous sommes avec le peuple américain, une nouvelle fois endeuillé”, a déclaré Macron, dans un premier temps, sans insister sur le caractère antisémite de l’attaque.

La condamnation de Macron a fait débuter la ribambelle de condamnations des plus fausses de nos dirigeants français qui ont évité de prononcer les mots « Juif » , « antisémite » ou « synagogue » pour ne pas lier cette attaque à la communauté juive.

Marine le Pen a suivi avec sa condamnation limite antisémite en disant :

“Solidarité avec le peuple américain, endeuillé après la lâche attaque survenue à #Pittsburgh. Toutes mes condoléances et mon soutien aux familles des victimes de cette fusillade”, a-t-elle écrit sur son compte Twitter officiel.

Jean Luc Melanchon a quand à lui envoyer sa seule solidarité avec le peuple américain, sans lien avec les Juifs qui sont les seules victimes !

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3 Commentaires

  1. Bien évidemment que Macron ne reconnait pas le caractère Juif des victimes car il ne va pas se mettre a dos les arabes de France qui ont voté pour lui : il faudrait qu’il renonce a au moins 15 a 20 millions de voies…Il vaut donc mieux pour lui cracher sur les Juifs qui sont une minorité (tout juste 500 000) que de contrarier son électorat français constitué presque de moitie par le vote des arabes de très récente (moins de 50 ans) nationalité française …. En faisant donc semblant d’ignorer qu’ils sont Juifs, et en n’évoquant que la nationalité américaine des victimes, cela permet de ménager la chèvre et le chou…….La chèvre en clair se sont les arabes français et le chou c’est l’Amérique avec lequel on doit maintenir les accords économiques diplomatiques etc…..

  2. Lorsqu’il y avait eu l’attentat à Paris rue Copernic, on s’était offusqué a juste titre, que soit faite une distinction entre juifs et français innocents. Le terme innocent induisait de facto que les auteurs du crime, avaient une légitimité a tuer des juifs, qui eux, ne devaient a cause de leur religion, ne pas l’être : Raymond Barre Premier ministre était un antisémite et il l’assumait (le crime des juifs c’est d être juif).
    Il aurait était sage qu’il dise : Français, de confession juive.
    On devrait être amener a penser que le fait de ne pas marquer la différence est la preuve d’une parfaite assimilation, or dans ces cas de meurtres, il n’est pas indiqué d’omettre le mobile du crime en rappelant la croyance des victimes qui est le motif et la légitimité que se donne les pourritures pour justifier leurs actes.
    Macron et comparses paieront lors des élections, comme dit sa femme : « Cela se mangera froid’