Entre 8 000 et 10 000 Palestiniens ont pris part à la marche de retour vendredi près des frontières de Gaza. Selon le ministère de la Santé de Gaza, trois manifestants ont été tués et 40 autres blessés par des tirs des FDI, parmi lesquels un adolescent de 16 ans et une personne de 40 ans . Parmi les blessés, il y a un journaliste et un ambulancier, mais nous savons que parfois la tenue n’est pas conforme à l’activité et que beaucoup de terroristes se font passer pour d’autres ou se cachent derrière les civils.
Les services de presse des FDI ont signalé que la plupart des manifestants étaient tenus à l’écart des barrières frontalières, mais que «certains» d’entre eux étaient ont lancé des engins explosifs vers la frontière et tenté de s’infiltrer. L’armée a non seulement utilisé des gaz lacrymogènes pour prévenir, et des balles réelles lors d’intrusion de terroristes risquant la vie des Juifs des kibboutzim en bordure de Gaza.
شهداء وجرحى برصاص الاحتلال خلال قمعه مسيرات العودة شرق قطاع #غزة، أمس.
المصدر: RUPTLY pic.twitter.com/GJsRbCguo2— شبكة قدس الإخبارية (@qudsn) 22 décembre 2018
L’accord de « règlement » avec le Hamas se poursuit. L’organisation terroriste au pouvoir à Gaza reçoit de la fourniture de carburant et d’argent, mais continuent malgré tout les «marches de retour ». Dans le même temps, comme l’a déclaré un représentant des services de sécurité de l’AP aux journalistes israéliens, le Hamas utilise «de l’argent qatari» pour recréer l’infrastructure de la terreur en Judée-Samarie.
Les services de sécurité de l’Autorité palestinienne ont aussi mené des raids sur des terroristes des cellules clandestines du Hamas et accusent le gouvernement israélien d’aider l’organisation terroriste et de négliger ses partenaires antiterroristes en Judée Samarie. « Vous avez plus peur de la chute du Hamas que de l’effondrement des structures de l’Autorité palestinienne », a déclaré un correspondant de Kan, à un responsable de la sécurité de l’Autorité palestinienne.