Hossein Asadollahi, un commandant terroriste musulman du groupe terroriste des Gardiens de la révolution iraniens, est décédé des suites d’un coronavirus. Cependant, les agences de presse d’État iraniennes ont rapporté qu’Asadollahi est mort des «blessures chimiques» subies pendant la guerre avec l’Irak.
Il est le dernier d’au moins 16 responsables du régime iranien et de hauts dignitaires religieux à être morts du virus.
Asadollahi était en charge de la fourniture de missiles aux terroristes du Hezbollah en Syrie et responsable du projet de mise à niveau de leur arsenal en missiles de haute précision.
Asadollahi était responsable de la répression brutale des manifestants de Téhéran contre le régime islamique en décembre dernier, au cours de laquelle des centaines de personnes ont été tuées.
Asadollahi avait également été un commandant clé des forces iraniennes soutenant le dictateur syrien Bachar al-Assad.
Un total de 129 personnes en Iran sont mortes du coronavirus au cours des dernières 24 heures, ce qui porte le nombre de morts à 1 685, selon le ministère iranien de la Santé.
Selon des sources à l’intérieur de l’Iran, le nombre de morts est plus élevé que les chiffres rapportés par le ministère de la Santé, estimant le nombre de morts est de 9 000.
Des dizaines de terroristes des Gardiens de la révolution iraniens infectés par un coronavirus ont été vus hier soir transférés d’Iran vers un hôpital libanais.