Le ministre Ohana demande que la police publie les vidéos des citoyens refusant le port du masque et coopération afin que cessent les diffamations sur les réseaux sociaux

Le ministre de la SĂ©curitĂ© publique, Amir Ohana, a appelĂ© le juge en chef de Nalblit Ă  autoriser la police Ă  publier la documentation des camĂ©ras portĂ©e par la police, sans que cela soit considĂ©rĂ© comme une « interruption des procĂ©dures d’enquĂȘte ».

Le ministre Ohana : « Nous avons Ă©tĂ© tĂ©moins ces derniers jours, principalement en raison de l’application accrue de la loi dans le cadre de la lutte contre la propagation du virus, pour le port du masque, des frictions de quelques policiers et civils israĂ©liens.
Je ne pourrais jamais justifier le recours illĂ©gal Ă  la force contre un citoyen, sans parler de la violence rĂ©elle. Ce phĂ©nomĂšne doit ĂȘtre condamnĂ© partout et j’ai l’intention d’exiger que les chefs de police agissent pour punir et, le cas Ă©chĂ©ant, exclure de la police ceux qui agissent de cette maniĂšre.

Dans le mĂȘme temps, je me permets de dĂ©clarer qu’une majoritĂ© absolue d’échanges entre policiers et citoyens dans ce contexte se terminent sans incident inhabituel, l’officier effectuant son travail (enregistrant actuellement plus de 3 000 amendes ) par jour, dont un ou deux cas qui sont dĂ©finis comme « Inhabituel ».

Dans les quelques cas, la force est exercĂ©e, gĂ©nĂ©ralement en raison de la rĂ©ticence de la personne Ă  donner sa carte d’identitĂ© et Ă  obĂ©ir aux instructions de l’agent, et oĂč l’intĂ©rĂȘt public est plus important, ce qui est comprĂ©hensible. Dans ces cas, les passants enregistrent des vidĂ©os oĂč le recours Ă  la force par les policiers est possible, gĂ©nĂ©ralement sans documenter les moments prĂ©cĂ©dents – et publient les vidĂ©os sur les rĂ©seaux sociaux, qui se propagent rapidement et atteignent tous les foyers avec ou sans l’aide de mĂ©dias institutionnalisĂ©s.

Les policiers Ă©chouent parfois et, comme je l’ai dit, cela est surveillĂ© et punis le cas Ă©chĂ©ant. Cependant, la police a gĂ©nĂ©ralement une bonne rĂ©ponse et mĂȘme des preuves de leurs affirmations, trouvĂ©es dans les vidĂ©os qu’ils portent sur eux. Le problĂšme est que la police n’a toujours pas le droit de publier ces vidĂ©os, craignant que cela pourrait constituer une « entrave Ă  la justice. »

À mon humble avis, il y a des dommages nationaux qui peuvent rĂ©sulter d’une omission de fournir une rĂ©ponse immĂ©diate dans les cas appropriĂ©s sur les rĂ©seaux sociaux face Ă  ces diffamations contre la police.

L’exposition de la vidĂ©o de la police aussi complĂšte que possible, ne perturbe pas l’enquĂȘte – elle sert Ă  servir Ă  l’enquĂȘte. Par consĂ©quent, je vous demande par la prĂ©sente d’approuver la diffusion de vidĂ©os du type en question et qui sont en la possession de la police sans l’interdire pour « l’interruption des procĂ©dures d’enquĂȘte », afin de rĂ©vĂ©ler au public autant que possible, le plus rapidement possible, l’intĂ©gralitĂ© de l’évĂ©nement (sauf en cas de dĂ©cision positive et motivĂ©e) du DIP pour avoir interdit la publication de la documentation pour des raisons spĂ©cifiĂ©es par le DIP).


RĂ©daction francophone Infos Israel News pour l’actualitĂ© israĂ©lienne
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