«Ma mère fait partie de la population la plus vulnérable. Elle fait partie de ceux avec le plus grand risque en cas de corona et n’est pas vaccinée.

On estime qu’il y a environ 150 000 sans-abri en Israël, alors qu’en pratique entre un tiers et la moitié d’entre eux ont déjà réussi à trouver un moyen de se rendre dans les centres de vaccination et de se faire vacciner. Que ce soit à l’initiative d’organisations bénévoles ou lorsqu’elles sont venues se faire soigner à l’hôpital ou soit par leurs enfants.

Selon diverses estimations, environ 40 000 de ces patients confinés ne peuvent pas venir se faire vacciner. Ce fait, ajouté au fait que le vaccin de Pfizer n’est pas transportable et fragile, nécessite des conditions de refroidissement strictes et est valable six heures, ce qui rend l’opération de vaccination impossible pour eux.

Un haut responsable du service de santé Clalit a averti : « Cette question doit être soulevée. » Le ministère de la Santé tente de trouver une solution à ce problème, et il est possible qu’à la fin, les vaccins Pfizer soient utilisés à cette fin. On estime qu’une solution sera trouvée dès la semaine prochaine.

Le ministère de la Santé a déclaré que : « La question est en discussion parmi les professionnels.

Pour rappel, il suffirait pour ces personnes âgées qui ont de la famille et qui peuvent se déplacer, que les enfants, ou petits enfants, leur prennent un rendez-vous et les emmènent au centre de vaccination avec un masque homologué. Pour les autres (sans famille ou qui ne peuvent sortir pour des raisons médicales), le ministère de la santé à cette responsabilité qui devrait être une priorité et éviter à toutes ces personnes de rester confinées loin de leur famille en les vaccinant à domicile comme de nombreux pays dans le monde où les soins à domicile en général sont chose normale.