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13 juin 2025, Tel-Aviv – Au lendemain d’une opération militaire historique contre l’Iran, les Forces de défense israéliennes (Tsahal) continuent de dévoiler des informations stratégiques sur l’ampleur et le succès de l’assaut. Deux annonces importantes sont intervenues ce matin : la publication de documents iraniens saisis ou interceptés attestant de la destruction d’armes stratégiques, et la confirmation que tous les pilotes et membres d’équipage ayant pris part à la mission sont rentrés sains et saufs.

Ces révélations viennent renforcer la posture israélienne dans ce que le gouvernement qualifie de « mission préventive nécessaire », menée avec une précision remarquable et un objectif clair : neutraliser les capacités nucléaires et balistiques de l’Iran avant qu’il ne soit trop tard.

📁 Des documents iraniens révélés : preuves de cibles stratégiques éliminées

Dans un communiqué officiel publié par Tsahal ce matin, l’armée israélienne affirme avoir obtenu et analysé des documents iraniens internes, issus de centres de commandement attaqués lors des frappes. Ces documents confirment que plusieurs systèmes d’armement classés comme « stratégiques » ont été touchés et rendus inopérants.

Parmi les éléments publiés :

  • Schémas de bases de missiles balistiques situées dans les environs de Téhéran et d’Ispahan, identifiés comme ayant été détruits par les frappes aériennes.
  • Cartes de déploiement de drones longue portée, dont certains modèles de type Shahed auraient été en préparation pour une attaque imminente.
  • Rapports internes iraniens rédigés après les frappes, mentionnant la perte de « capacités critiques » et de « personnel de commandement de niveau opérationnel ».

Un haut responsable militaire israélien précise :

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

https://infos-israel.news/soutenez-infos-israel-news/

« Nous avons frappé des stocks d’ogives, des lanceurs mobiles, des postes de communication et des laboratoires de test. L’effet est dévastateur. L’Iran n’a pas perdu seulement du matériel : il a perdu du temps, de l’avance technologique et des cadres. »

🎯 Des cibles de haute valeur : missiles, drones, centres de commandement

Les informations déclassifiées font état de la destruction de trois grands dépôts d’armes balistiques et de deux centres de coordination de drones, ce qui constitue une atteinte directe aux capacités de projection de puissance de l’Iran.

Selon des analystes militaires israéliens, ces installations auraient permis, à très court terme, de mener des frappes contre Israël et contre les forces occidentales dans le Golfe. « Ce que nous avons neutralisé à Natanz, Téhéran et Ispahan dépasse la simple riposte : nous avons désarmé une partie de leur machine stratégique », résume l’un d’eux.

✅ Tous les pilotes et membres d’équipage sont revenus sains et saufs

Autre point marquant : l’intégralité des aviateurs engagés dans l’opération ont regagné leurs bases, après une mission qui aura mobilisé plus de 100 avions de chasse, des drones de reconnaissance et des appareils de ravitaillement.

Le porte-parole de Tsahal, le contre-amiral Daniel Hagari, a déclaré :

« L’opération a été exécutée avec une maîtrise exemplaire. Chaque pilote, chaque équipage est rentré à la maison. Aucun aéronef n’a été touché. C’est une victoire à tous les niveaux. »

Cette réussite tient à plusieurs facteurs :

  • Une planification méticuleuse de plusieurs mois ;
  • La guerre électronique menée pour aveugler les radars iraniens ;
  • Le renseignement en temps réel, notamment via satellites et drones.

 Une prouesse aérienne saluée à l’international

L’opération est déjà saluée dans plusieurs capitales comme un modèle d’intervention aérienne moderne, combinant technologie, furtivité, synchronisation et efficacité. La réussite de cette mission — sans perte humaine côté israélien — renforce l’image de Tsahal comme une armée à la fois défensive et préventive, mais aussi parfaitement opérationnelle.

Le président israélien, Isaac Herzog, a personnellement accueilli certains des pilotes dans une base du sud du pays, déclarant :

« Vous n’avez pas seulement accompli une mission militaire. Vous avez empêché une menace existentielle de devenir réalité. »

Réactions diplomatiques : l’action prend de la crédibilité

La publication de ces documents et la transparence affichée par Israël dans la gestion post-opérationnelle changent la donne sur le plan international. Plusieurs pays, jusque-là prudents ou critiques, reconnaissent désormais l’impact stratégique réel de la frappe israélienne.

Des diplomates européens ont admis à huis clos que les preuves de destruction de missiles balistiques et de centres de drones ajoutent du poids à l’argument israélien : la frappe n’était pas une provocation, mais une nécessité.

Une guerre évitée, une menace repoussée

Au cœur de ce succès militaire, un message politique limpide : Israël ne cherche pas la guerre, mais refuse l’impuissance. En frappant de manière ciblée, en exposant les résultats, et en assurant le retour sain et sauf de tous ses soldats, l’État hébreu affirme une stratégie de dissuasion active, fondée sur la maîtrise et la responsabilité.

Le Premier ministre Netanyahou l’a résumé ainsi :

« Nous avons agi parce que le monde hésite. Nous avons frappé pour ne pas être frappés. Nous avons protégé notre peuple, sans entrer dans une guerre que nous ne voulons pas. »

Conclusion : une opération défensive, documentée et victorieuse

L’armée israélienne a démontré qu’une opération de haute intensité pouvait être conduite sans pertes humaines, avec un impact stratégique démontrable. En publiant des preuves tangibles de la destruction d’armes stratégiques iraniennes, et en annonçant que tous ses pilotes sont sains et saufs, Israël renforce à la fois sa position militaire et sa légitimité internationale.

Dans un monde habitué à l’opacité ou à l’escalade sans fin, Israël choisit la précision, la transparence, et l’efficacité. Et ce faisant, il rappelle qu’en matière de sécurité nationale, la vigilance reste la meilleure des garanties de paix.