« Betlehem is like Varsovie »
C’est devant ce « tag » que le pape est venu répandre son fiel au nom de la religion de « l’amour ». 
Nous le comprenons aisément, le ressort de cette mascarade diplomatique nous dépeint un monde binaire. Un monde où n’existerait que de cruels maîtres en face de fragiles victimes innocentes. Au milieu de ce chaos, un homme en blanc bienveillant apporterait dans sa besace les clés de la libération humaine…

Franchement, si j’étais producteur, je ferais de cette idée un dessin animé pour les enfants de moins de 10 ans !
Je pense que la simplification à l’extrême du problème proche-oriental n’est là que pour travestir le gène antisémite du Vatican. Il faut dire qu’en la matière le Vatican est multirécidiviste.

Tout récemment, l’ONU déclare « avoir » de sérieux doutes sur l’enlèvement de nos 3 adolescents. Je pourrais parler de l’ignominie de certains penseurs (?). Je pourrais pointer certains calembours calamiteux …

Mais là où mon cœur saigne, c’est quand j’entends des gens (dans la rue ou au café), qui en bons perroquets, comparent le comportement des Juifs avec les palestiniens à celui des nazis avec nous.
Après tout, l’idée de couper yeroushalayim en 2 n’est-il pas le symbole le plus éloquent de l’antisionisme planétaire?

Je ne veux pas être « DES MA GOGUE » mais il me semble que sous nos yeux se joue le conflit-matrice de notre délivrance finale.
Par Cristov Koisha pour Alyaexpres-News