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Un membre d’une famille israélienne de la jeune Hodaya Monsango, détenue au Pérou depuis la semaine dernière pour suspicion de trafic de drogue, poursuit sa lutte pour sa libération, prévenant qu’elle se trouve en danger depuis sa détention. « C’est une situation délirante de laisser une jeune femme comme elle et sans défense en prison. Nous craignons qu’elle ne tente de se faire du mal », a déclaré son oncle Tamir au studio Ynet.

Hodaya, 24 ans, a été arrêtée avec une autre jeune femme à l’aéroport de Lima, capitale du Pérou, après avoir transporté 28 kilos de cocaïne. La famille de Hodaya affirme avoir été victime d’exploitation en raison de son état mental. « C’est une fille mentalement limitée. Elle ne porte pas de jugement, elle a besoin d’un traitement équilibré », a expliqué l’oncle.

Les membres de la famille organisent une campagne de financement pour financer la protection juridique de Hodaya. Jusqu’à présent, près de 350 000 NIS ont été collectés, sur un demi million nécessaire.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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« Lors d’un voyage en Espagne, on lui a dit ‘Allons en Amérique’ ‘, et elle ne savait pas qu’elle serait emmenée au Pérou. Même à l’atterrissage, elle n’a pas réalisé qu’elle se trouvait au Pérou.

À l’aéroport, de grandes quantités de cocaïne ont été découvertes dans la valise de Hodaya et, selon les membres de sa famille, elle ne savait pas qu’elle transportait de la drogue. « Je ne lui ai parlé que vendredi. Elle pleurait, je ne pouvais lui poser aucune question. Ce que j’ai découvert, c’est qu’elle n’en savait rien », a déclaré le frère de Hodaya, Maor.

Dans la famille, on pense que la personne qui a incriminé Hodaya est la femme avec laquelle elle a voyagé et que tout avait été planifié.

Ils ont noté que Hodaya souffrait de conditions de détention difficiles. « Nous avons eu une brève conversation avec elle vendredi. Nous avons appris qu’elle a été battue, qu’elle était meurtrie, qu’elle ne pouvait pas se doucher, qu’elle craignait pour son âme. Nous craignons qu’elle se sente désespérée et qu’elle puisse se faire du mal. »