L’escarmouche initiale avec la guérilla du Hezbollah libanais soutenue par l’Iran est terminée, a déclaré l’armée israélienne, mais pas le « grand événement ».
Peu avant 19 heures, le commandement du front intérieur des FDI a officiellement annoncé la levée des restrictions de sécurité dans le nord.
Les forces du Hezbollah ont lancé dimanche après-midi des missiles antichars Kornet sur une ambulance militaire des FDI et une base militaire de l’autre côté de la frontière nord, ouvrant la première confrontation majeure entre Israël et le Liban depuis 2006.
«Nos forces n’ont subi aucune victime lors de l’événement dans le nord», a déclaré le porte-parole de Tsahal. «Nous avons tiré 100 obus et avons attaqué avec un hélicoptère de combat la cellule terroriste qui a lancé le tir de missile anti-char en direction du Moshav Avivim.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
« La cellule a tiré sur une ambulance militaire », a déclaré le porte-parole de Tsahal. «L’événement tactique est terminé, mais l’événement majeur ne l’est pas encore. Le chef d’état-major de l’armée israélienne a donné des instructions pour renforcer l’état de préparation du Nord », a ajouté le porte-parole.
Le Premier ministre et ministre de la Défense, Benjamin Netanyahu, a déclaré qu’il s’était entretenu avec le chef d’état-major des FDI, Aviv Kochavi, et le reste des hauts gradés.
« Nous avons été attaqués avec plusieurs missiles antichars », a répété Netanyahu, ajoutant que, outre les tirs de mortier, Israël avait riposté en « tirant de plusieurs manières. »
«Nous consultons sur les prochaines étapes», a-t-il poursuivi. «J’ai ordonné que nous soyons prêts à tout scénario. Nous déciderons des prochaines étapes dans l’attente des développements.
« A ce moment, j’ai une annonce importante: nous n’avons pas de victime, pas même une égratignure », a-t-il souligné.
Les terroristes se sont alors vantés via le réseau médiatique du groupe qu’Israël avait subi des pertes considérables lors de son attaque, menée comme une « vengeance » pour une précédente opération israélienne en Syrie.
Le Hezbollah prévoyait de diffuser une vidéo de «son attaque de missile antichar réussie contre un véhicule militaire israélien» afin de prouver la véracité de ses déclarations faisant état de victimes, lorsque la supercherie a été révélée.
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