Les voix des parents étaient divisées entre ceux qui affirmaient qu’ils ne voulaient pas que les femmes de la société arabe éduquent leurs enfants, et d’autre part, les parents qui affirmaient que ce n’était pas la raison mais le fait qu’elles ne connaissaient pas ces nouvelles femmes et ne savent pas qui elles sont.
Face à la colère et à la crainte que les parents n’entrent dans la garderie et ne perturbent la tranquillité des tout-petits et du personnel, la police a été appelée sur les lieux, elle a bloqué la possibilité d’entrer dans la garderie et est restée à la porte pour sécuriser les lieux.
Les esprits ne se sont calmés que lorsque les femmes arabes ont quitté elles-mêmes l’enceinte, lorsqu’elles ont compris le message qui était entendu (fort il faut le dire) à l’extérieur et ont été très offensées par la situation.
Plus tard, sont arrivées sur place deux jeunes femmes, recrutées comme ouvrières dans la garderie par les parents eux-mêmes, et censées remplacés les ouvrières arabes qui étaient parties en disgrâce.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :