Israël continue de se préparer à des scénarios de guerre avec le Hezbollah, et chacun est pire que l’autre pour les citoyens. La Douzième chaîne rapporte la réunion qui a eu lieu jeudi.
La conversation sur l’état de préparation logistique a eu lieu en présence du ministre de la Défense Yoav Galant, du directeur général du ministère de la Défense, du commandant du commandement logistique et des chefs des départements de l’énergie. Le scénario d’une panne d’électricité après une attaque de missile a été évoqué.
Il existe plusieurs objets en Israël qui, s’ils étaient touchés, pourraient entraîner une panne de courant dans tout le pays pendant une journée ou plus.
Le scénario de base suppose qu’il n’y aura pas d’électricité pendant 48 heures.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Il y a quelques jours , des instructions ont été largement diffusées pour expliquer à la population comment s’approvisionner en nourriture et en eau. Ce texte a provoqué la panique sur les réseaux sociaux. Il a été recommandé de préparer des trousses de premiers secours, de s’approvisionner en eau potable et sanitaire, d’acquérir un transistor, des batteries et des chargeurs pour téléphones, de préparer tout le nécessaire pour la cuisine pendant une période où il n’y a pas d’électricité, de faire le plein de carburant, de préparer des vetements chauds, papier toilette.
Le texte s’est avéré authentique, mais le ministère de la Justice l’a qualifié de mesures ordinaires en cas d’urgence. Juste un rappel des règles.
Cependant, aujourd’hui dans Walla, Nir Kipnis écrit qu’il faut se battre, sinon le scénario du 7 octobre se répétera dans le nord du pays.
Dans le même temps, Kipnis ne cache pas qu’il y aura de nombreuses victimes civiles. Il estime que le « leader » doit avoir le courage de dire : « Nous entrons maintenant dans une guerre qui coûtera des milliers de vies, car si nous ne le faisons pas, nous nous retrouverons dans une guerre qui coûtera des dizaines de milliers de vies. « .
C’est assez facile de dire cela, c’est difficile quand parmi ces « milliers de victimes » se trouvent votre enfant, votre sœur, votre frère, votre conjoint…
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