Ne jugez jamais une personne (ou un pays) avant d’être à sa place. Cette question s’adresse aux peuples occidentaux et à leurs dirigeants. Essayez un instant d’imaginer la situation et de la projeter sur vous-même.
Dans cet article, je citerai la France et son président comme un exemple générique qui se démarque mal, représentant les pays occidentaux connus pour leur attitude critique à l’égard d’Israël et leur flatterie envers les musulmans qui peu à peu s’emparent de certains d’entre eux et deviennent un atout électoral pour leurs hommes politiques. Les dirigeants innocents comprennent mais ne l’intériorisent probablement pas, captifs du concept erroné du « cela ne nous arrivera pas ». Cette propriété deviendra un fardeau moral, de valeur, social et de sécurité, qu’ils pourraient regretter.
Le président français Emmanuel Macron n’est pas antisémite, bien au contraire ; La France, qui dans le passé s’est tenue plus d’une fois à nos côtés et nous a beaucoup aidés dans des domaines essentiels, n’est absolument pas antisémite. Cependant, dans sa conduite actuelle, Macron mentionne comment l’antisémitisme dans le monde refait surface lorsqu’il reconnaît une faiblesse israélienne, ou une situation dans laquelle Israël est obligé d’attaquer ses ennemis pour se défendre. Le même comportement est remplacé par des accolades et de la sympathie lorsque nos ennemis nous surprennent – comme cela s’est produit le 7 octobre, lorsque nous nous sommes dit que là encore, la France, la Grande-Bretagne et d’autres pays étaient pleinement de notre côté.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :