Trois brigades encerclaient le camp : 460, Givati et 401. La 460e Brigade est arrivée dans les écoles et les abris. La brigade dit avoir ainsi déplacé en toute sécurité cinq mille habitants transformé par le Hamas en bouclier humain . Le lendemain, vingt mille personnes étaient déjà parties et on dit que « la barrière de la peur des habitants » avait été brisée. L’armée israélienne affirme que cinquante mille habitants sont partis.Environ 600 terroristes se sont rendus et se sont enfermés dans les égouts. Dans le même temps, des centaines de terroristes supplémentaires ont été tués dans le camp de réfugiés. L’hôpital Kamal Adwan était le dernier refuge géré par le Hamas à Jabaliya. La brigade 460 a encerclé l’hôpital, ce qui a empêché le Hamas de s’organiser avant la fin de l’encerclement. 60 terroristes se sont rendus et vingt ont été tués lors de leur évasion de l’hôpital. Plus tard, une force de la 13e flotte est entrée dans l’hôpital Kamal Adwan et a capturé 60 autres terroristes qui se cachaient dans les salles de l’hôpital. Les terroristes ont utilisé les patients comme boucliers humains. Au moins un détenu faisait partie de l’équipe et il s’est avéré qu’il avait participé au raid du 7 octobre.
La décision d’aller à l’hôpital est le résultat d’activités de renseignement. Avant d’entrer dans l’hôpital, il était entendu qu’il servait de centre de commandement du Hamas avec plusieurs dizaines de terroristes.
L’armée israélienne estime que plusieurs centaines de terroristes restent au centre du camp de réfugiés. Actuellement, Tsahal ferme le centre du camp de réfugiés, mais l’armée affirme que même si les combats dans le camp ne sont pas terminés, « l’histoire de Jabalia n’est plus la même qu’il y a quelques jours ».
L’armée israélienne parle de la nature des combats du Hamas dans le camp de Jabaliya au cours du cycle actuel. Les terroristes multiplient l’utilisation d’explosifs et la guérilla, ce qui n’est pas organisé, disent les commandants. « Ce ne sont pas les bataillons et les compagnies qui étaient là il y a un an au début des combats. Ils sont sur le point de se briser. Leur capacité de combat est inférieure. Nous n’avons pas vu 600 terroristes lever la main dès le premier tour.
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