Malgré des signaux alarmants la nuit précédant l’attaque meurtrière du Hamas, l’armée israélienne et les services de sécurité n’ont pas réussi à relier les indices pour anticiper la catastrophe. Des défaillances de communication, une mauvaise gestion du renseignement et des ordres non exécutés ont conduit à l’impréparation totale face à l’attaque du 7 octobre.
Des indices ignorés et des alertes non traitées
📌 22h00 (6 octobre) : Des cartes SIM suspectes activées par le Hamas sont détectées, mais l’information est engloutie sous le flot des données et ne reçoit pas d’attention immédiate.
📌 Minuit : L’armée découvre que six commandants de l’unité d’élite Nukhba du Hamas ont disparu. Lorsqu’un seul est retrouvé, les recherches sont abandonnées, tandis que les autres se dirigent déjà vers les zones de rassemblement avant l’assaut.
📌 2h00 (7 octobre) : Une augmentation anormale des communications téléphoniques à Gaza est détectée. Une analyste du renseignement tente d’alerter son supérieur, mais en raison d’un problème de communication, il ne se réveille que trois heures plus tard, perdant ainsi un temps crucial.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :