Une terre pour deux « peuples » ? (suite)

 

Tout cela est bien beau, me direz-vous, mais de quel droit un peuple, revenu d’ailleurs, imposerait-il d’accepter de reconnaître (Je n’ai pas écrit « adopter » !) ses us et coutumes à un autre « peuple » déjà sur place depuis longtemps ? D’ailleurs, si on prend l’argumentation arabe, les Juifs actuels ne seraient pas les descendants des Juifs présents jadis en Erètz Israël (qui se seraient convertis à l’islam) mais ne seraient que les descendant du royaume Khazar dont le roi et le peuple, au 8ème siècle, se sont convertis au judaïsme (…Balayés Flavius Joseph, l’Arc de Titus, le Talmud, tous les commentateurs de celui-ci, les historiens non-Juifs d’antan et les preuves archéologiques… tous ces écrits et choses étant classés comme « propagande sioniste » !), affirmation qui transparaît dans l’Article 20 de la « Charte palestinienne » (« Les prétentions à des liens historiques et religieux des Juifs avec la Palestine sont incompatibles avec les faits historiques (…) Le judaïsme étant une religion… »).

 

Faisons-nous l’avocat du diable (Ne voyez dans ce terme aucune connotation péjorative ! Quoique…) et partons de cette hypothèse abracadabrantesque. Les Juifs sont-ils un peuple, une religion ou autre chose ? Selon un consensus de l’ensemble des Juifs (C’est cela la démocratie !) « Est Juif celui qui est né de mère juive… ».Donc « être Juif » serait faire partie d’une descendance génétique et – dans l’argumentation arabe – exclurait les supposés descendants des Khazars (c’est-à-dire, d’après cette approche, tous les Juifs actuels)du droit à l’héritage de la Terre Promise. Oui mais voilà ! D’après, la Bible – écrite bien avant Mahomet – le roi David, Salomon et même (si on prend les écrits chrétiens) Jésus de Nazareth, descendent tous d’une convertie au judaïsme (Routh – Voir le « Livre de Routh »… à ne pas confondre avec le « Guide du Routard » !). Il est ainsi prouvé que la définition du Juif (« Est Juif celui qui est né de mère juive… ») est correctement complétée par nos Sages : « …ou qui s’est converti selon la Halakha ». Il s’agirait ainsi également d’une appartenance religieuse et il en résulte que l’argumentation arabe ne tient pas car, selon ce principe, les Khazars étant « convertis selon la Halakha » étaient Juifs ainsi que leur descendance et ont donc plus droit à l’Héritage que de supposé « Juifs anciens qui se seraient convertis à l’islam ».

 

De plus, si l’on me dit que l’on ne peut « être (vrai) Juif » (C’est-à-dire « avoir droit à l’Héritage » au détriment de « faux Juifs » qui ne le seraient que par religion !) que par descendance génétique, cela confine au racisme et au nazisme (Ce qui est très vilain !), ceux qui prêchent qu’il existe une « Race des Seigneurs » dont on ne peut faire partie que par le hasard de la naissance, les autres en étant exclus ad vitam aeternam. Il va sans dire que cette fausse conception du judaïsme est rejetée, avec force et horreur, par l’ensemble du Peuple juif qui considère, comme le dit le Talmud, qu’un converti au judaïsme (mais nos rabbins – ne pratiquant pas le prosélytisme – n’acceptent que celui qui, après mûre réflexion, le désire sincèrement et non pour des motifs matériels ou sentimentaux) « a plus de mérites que le Cohen Hagadol », et l’une des 613 Mitzvoth interdit même spécifiquement de rappeler à un converti ses origines. Mais cette hypothèse arabe est également battue en brèche par les témoignages de témoins dignes de foi.

 

Par contre, si l’on m’objecte que l’on ne peut être Juif que par « religion » (Art. 20 de la « Charte palestinienne »), on se demande de quel droit des « Juifs anciens qui se seraient convertis à l’islam » revendiquent une terre qui a été promise aux Juifs selon cette même « religion »… Qui plus est, « Promesse » – D-ieu ne pouvant mentir et, connaissant le futur, n’ayant aucune raison de changer d’avis ! – entérinée par l’ensemble des chrétiens de par leur acceptation de « la Genèse » comme Livre non-apocryphe !

 

Donc,« être Juif » est soit faire partie d’une « religion » (« Adhésion à une doctrine religieuse »), soit faire partie d’un « peuple »… dans le sens de la définition au Petit Larousse 1993 : « Ensemble d’hommes habitant ou non sur un même territoire et constituant une communauté sociale ou culturelle », car le Peuple juif, depuis des millénaires partage une même culture (Les valeurs juives, une histoire commune, les souffrances de l’antisémitisme enduré dans toutes les communautés et des attaches, même si parfois très faibles, avec le judaïsme) et, pour le social, maintien – depuis toujours et partout au travers du monde – d’incessants rapports avec les autres membres de la collectivité ! Pour simplifier, on pourrait dire que « être Juif » est faire partie d’une illustre « famille » (C’est d’ailleurs l’origine du Peuple juif !) – avec toutes ses traditions et en tenant compte de tous les différends familiaux qui peuvent surgir, même dans les meilleures – à laquelle soit on appartient de naissance, soit on peut se joindre par « mariage »… avec l’accord des parents de la fiancée !

 

En est-il de même pour le dit « Peuple palestinien » ? Comme prouvé ci-avant, aucune mention de ce « peuple » avant les années 1960 ! Jusque là (Et même aujourd’hui !), ces gens se considéraient comme faisant partie du « Peuple arabe » qui comprend les habitants de quelque vingt Etats(cf. « Ligue arabe ») couvrant une bonne surface du globe.  « Il n’existe aucun livre d’histoire antérieur aux années 1960 évoquant la Palestine comme une entité autonome dirigée par son gouvernement, et le commerce en Palestine n’avait apparemment aucun besoin de frapper de la monnaie car il n’en existe aucune » (Fred H. Gottheil – « Palestine : le symbole imprononçable »[1]). Mais, malgré cela, ils avaient peut-être un passé commun !? « Historiquement, la notion de Palestiniens en tant que peuple ou représentant d’une culture ou d’une civilisation ne rencontre aucun écho avant les années 1960. Contrairement aux archives historiques relatives aux cinq pays entourant Israël, il n’existe aucune trace d’un prince ou d’un roi palestinien ayant régné sur cette terre, aucun descendant du prophète pour la revendiquer, aucun vestige archéologique d’une quelconque ancienne civilisation palestinienne » (« Palestine : le symbole imprononçable »). Anecdote amusante : en arabe le mot « Palestine » n’est pas prononçable et les claviers de langue arabe brillent par leur absence de la lettre « p » (« Palestine : le symbole imprononçable »). Les dits « Palestiniens » ne sont donc en aucune façon « un peuple » car ils n’ont aucune histoire propre et ne constituent pas « une communauté » : ils font partie de la communauté arabe ! Les liens sociaux  entre les dits « Palestiniens », éparpillés dans le monde, ne sont basés que sur une unité factice qui ne s’appuie que sur la « haine de l’ennemi sioniste » et non sur des rapports humains et culturels propres… car même leur culture est typiquement arabe. (Existe-t-il un plat, une littérature ancienne, un humour, une musique, des contes et légendes exclusivement reconnus comme « Palestiniens » ?)

 

Mais d’où proviennent-ils alors ? Il est certain que la plupart des Arabes présents sur place en 1948 étaient issus d’une immigration récente. Ils ne peuvent donc se targuer d’être les descendants des Juifs de l’époque de la conquête musulmane. Les preuves ?  Prenons d’abord un témoin du 17ème siècle, Hadrian Reland, cartographe, géographe, philologue et professeur de philosophie hollandais (voir : « Palestina »[2]), connaissant l’hébreu, l’arabe et le grec ancien et est l’un des premiers orientalistes. Chargé d’un voyage d’étude en Terre Sainte, afin de recenser plus de 2.500 lieux (villes et villages) apparaissant dans le texte du Tanakh  ou de la Michnah dans leur appellation originelle, il opère un recensement de l’époque (1695), pour chaque localité visitée et, d’abord, une considération d’ordre général spécifiant que la terre d’Israël d’alors est pratiquement déserte, très peu peuplée. La majorité de ses habitants se concentre dans les villes de Jérusalem, Acco (Acre), Tsfat (Safed), Tvéria (Tibériade) et Aza (Gaza) et le géographe signale une présence dominante de Juifs sur cette terre, quelques chrétiens et très peu de musulmans, dont la plupart étaient des bédouins. Aucune localité d’alors ne propose de nom ou de source arabe. La grande majorité de ses villes ou villages possède un nom hébreu, quelques-uns en Grec ou Latin-Romain. Pratiquement aucune ville qui possède aujourd’hui un nom en arabe n’en possédait à l’époque : ni Haïfa, ni Yaffo, ni Naplouse (Shehem), Gaza ou Djénine. Aucune trace dans les recherches de Reland de sources historiques ou philologiques établies aux noms arabes, plus tardifs, de Ramallah, Al Halil (Hébron) ou Al Qods (Jérusalem)… supposé être le « troisième lieu saint de l’islam ») ! En 1696, Ramallah s’appelle Beteïlé (du nom hébraïque de « Béth El », cité dans Béréchith XXVIII, 19). La plupart des villes étaient composées de Juifs, à l’exception de Naplouse (Shehem) qui comptait 120 personnes issues d’une même famille musulmane, les « Natashe », ainsi que 70 Samaritains. A Nazareth, en Galilée, une ville entièrement chrétienne : 700 chrétiens. A Jérusalem, plus de 5.000 habitants, dont la plus grande majorité est juive et quelques chrétiens. Reland n’évoque que quelques familles bédouines musulmanes isolées, composées d’ouvriers temporaires saisonniers. A Gaza, près de 550 personnes, 50% de Juifs et 50% de chrétiens. Un ville comme Oum El Fahem (haut lieu de l’islamisme aujourd’hui) était complètement chrétienne : 10 familles.

 

Où était alors ce fameux « non-peuple » dit « Palestinien » ? Dès le 11ème siècle, Rachi annonçait dans son commentaire sur Yéh’ezkel XXXVI, 8 : « Lorsque le pays d’Israël donnera ses fruits en abondance, nous serons proches de la fin de l’exil, et il n’y a pas de signe plus évident »… Ce qui sous-entendait que, déjà, le pays était quasi-désert !Plus accessible que l’ouvrage de Reland (qui n’existe qu’en un seul exemplaire), mais plus tardif aussi (Bien que cela tende à prouver que l’immigration massive de la Terre Promise par les Arabes est encore plus récente !), nous avons le témoignage de Chateaubriand : « Dans cette contrée devenue la proie du fer et de la flamme, les champs incultes ont perdu la fécondité qu’ils devaient aux sueurs de l’homme ; les sources ont été ensevelies sous des éboulements ; la terre des montagnes, n’étant plus soutenue par l’industrie du vigneron, a été entraînée au fond des vallées, et les collines, jadis couvertes de bois de sycomores, n’ont plus offert que des sommets arides… On a observé que les Juifs étrangers qui se fixent à Jérusalem vivent peu de temps. Quant à ceux de la Palestine, ils sont si pauvres qu’ils envoient chaque année faire des quêtes parmi leurs frères d’Egypte et en Barbarie… » (« Itinéraire de Paris à Jérusalem », 1811). Il y a aussi Mark Twain qui apporte son témoignage : « Une contrée désolée dont le sol est assez riche… Il y a une désolation ici que même l’imagination ne peut rendre l’éclat de la vie et de l’action… Nous n’avons pas vu un être humain sur le trajet… On rencontrait à peine un arbre ou un arbuste. Même l’olivier et le cactus, les amis rapides du sol sans valeur, avaient presque déserté le pays… » (« The Innocents Abroad » – London, 1881). Dans un document de travailpublié par la faculté, le 17 août 1971, sous le titre « Arab immigration into the pre-State Israel, 1922-1931 »,le Professeur Fred H. Gottheil – membre du corps enseignant de l’Institut Commercial et d’Administration des Entreprises de l’Université d’Illinois à Urbana-Champaign – note : « les mouvements migratoires d’Arabes arrivant en Israël pré-étatique à la recherche de travail afin d’améliorer leur statut économique » (« Palestine : le symbole imprononçable » – lien n° 1). Ils semble donc établi que la population « autochtone » de Palestine (enrichie parallèlement par l’apport de quantité de Juifs qui débarquaient afin de bâtir notre nation) « ou bien souffrait d’un grave manque de main-d’œuvre, ou bien était pratiquement négligeable étant constituée de nomades sans attachement profond à ce “lieu de passage”, à moins qu’ils aient souhaité préserver leur mode de vie plutôt que de se fixer quelque part. »

Conclusions

 

Refuser à l’Etat d’Israël d’être reconnu par tous comme l’Etat juif, serait non seulement un reniement des promesses des nations (Société des Nations, ONU) mais aussi un déni de justice par rapport à l’équité avec les autres Etats libres de se nommer « Etat islamique » ou même « Fille aînée de l’Eglise ». Ce serait également faire le jeu de ceux qui rêvent d’en chasser sa population juive, soit par les armes, soit en signant des traités que – en vertu de la Taqiyya[3] et de la Charia (voir : « Dar al-Islam et Dar al-Harb »[4], « Les fondements du djihad »[5] et « Rencontre des Marocaines – Coran et Sunnah – Quand est-ce que le Djihad devient obligatoire pour chaque musulman ? »[6]) – ils s’empresseront de déchirer comme « chiffons de papier » une fois qu’ils seront les plus forts ou y seront majoritaires. Les Arabes dits « Palestiniens » ont déjà reçu la Transjordanie, soit 70% de la Terre Promise (tant par D-ieu que par Lord Balfour et la Société des Nations) aux Juifs, comme « Etat pour les Arabes » (Voir troisième volet  : « Winston Churchill réduit la Palestine mandataire en indiquant qu’elle se limitait aux territoires situés à l’ouest du Jourdain de par les promesses faites par McMahon, en 1915, d’offrir l’indépendance aux Arabes, notamment dans les territoires situés à l’est du Sandjak de Jérusalem »), ils ont aussi reçu la Bande de Gaza ainsi que l’autonomie sur une partie de la Judée-Samarie. Les Arabes ont déjà plus de 20 Etats dans le monde, sans compter les pays musulmans qui leurs sont proches ! Pourquoi ne veulent-ils pas reconnaître comme « Juif » un Etat pas plus grand qu’un département français ? La situation me fait penser à un exemple de squatters (Si les populations européennes ne comprennent pas aujourd’hui, elles risquent de le comprendre à leur(s) grand(es) dam(es) – « portant la burqua » – d’ici quelques années !) : un propriétaire est chassé illégalement de sa maison mais une décision de justice (la Justice est parfois très-très lente !) autorise ses héritiers à s’y réinstaller. Oui, mais voilà ! Des squatters s’y sont incrustés peu avant et refusent de quitter les lieux. Dans un esprit de conciliation, les héritiers les autorisent à occuper le 2ème étage mais les occupants illégaux exigent la totalité de l’habitation. Comme ces derniers sont violents, le Juge de Paix ordonne aux légitimes propriétaires de céder le 1er étage. Bientôt, les envahisseurs mettent en question les titres de propriétés des légitime possesseurs, leur promettant – en échange de l’abandon de leurs droits – de pouvoir encore partager avec eux le rez-de-chaussée. Le Juge de Paix prendra-t-il position – toujours dans le souci d’assurer la paix publique – contre une saine justice… en sachant très bien qu’une fois qu’ils mettront le pied dans le rez-de-chaussée, les malfrats rendront la vie de leurs co-locataires impossible jusqu’à ce que ceux-ci s’en aillent ou passent de vie à trépas ?

Pour ceux qui n’auraient pas compris la métaphore, les héritiers du propriétaire, ce sont les Juifs ; les squatters sont les Arabes qui se nomment erronément « Palestiniens ».La Terre d’Israël », dans ses frontières du Mandat donné par la Société des Nations en 1920, est la maison qu’un premier jugement a rendu aux Juifs. Une saine Justice – avec un « J » majuscule – exige que le Droit d’héritage soit reconnu ! C’est pourquoi – même si les Juifs autorisent, dans un esprit de conciliation, les squatters de loger au 2ème étage, voire même de résider au 1er moyennant certaines conditions – la maison doit être reconnue comme appartenant à ses propriétaires légitimes… de la cave au grenier !

(Fin des 6 volets)

Par Yéh’ezkel Ben Avraham pour Alyaexpress-News

 

Lexique des mots et noms hébraïques non-expliqués dans le texte

Béréchith : « Au commencement », Livre de la « Genèse » ;

Cohen – Cohanim : Descendants de Aaron, seuls habilités a exercer comme « prêtres ». Ils ne pouvaient donc accéder au titre de « Roi », celui-ci devant obligatoirement être un descendant de David, donc de la tribu de Yéhouda. Nos Sages mettent en parallèle le fait que les descendant des Maccabim, qui étaient des Cohanim, ont exercé la direction royaume après en avoir chassé les Grecs, pour en expliquer la dégénérescence. A ne pas confondre avec les rabbins, ces derniers n’étant que des Juifs plus « instruits » que les autres (Donc une fonction accessible à tous !) et non – comme se l’imaginent les non-Juifs – des « prêtres » ;

Cohen Hagadol : « Le Grand Prêtre », qui était considéré comme le plus saint parmi la hiérarchie sacerdotale. Comme tous les Cohanim, il devait obligatoirement descendre de la famille de Aaron ;

Erètz Israël : La Terre d’Israël ;

Guémara : Commentaires de la Michnah, ceux-ci constituent avec celle-ci tant le Talmud Yérouchalmi (Talmud de Jérusalem, écrit à Sepphoris, Tibériade, Césarée, et achevé vers 350) que le Talmud Babli (Talmud de Babylone, achevé vers l’an 500) ;

Halakha : Parties juridiques et normatives du Talmud ;

Maccabim : les Maccabées (Voir, pour plus de renseignements, le livre apocryphe du même nom que l’on trouve dans toutes les bonnes Bibles catholiques) ;

Michnah : « Recueil ». Compilation de la Torah orale (chébéal-péhשבעל-פה), transmise de générations en générations depuis Moché, elle est – dans le judaïsme – à absolument juxtaposer à la Torah écrite (chébikhtav שבכתב). Transcrite par Rabbi Yéhouda Hanassi (“Yéhouda le Prince”) ou sous sa direction, vers 189-190, elle est divisée en 63 Traités répartis en six sections appelées sédarim (“ordres/arrangements”) et constitue la base du Talmud de  Babylone et de celui de Jérusalem ;

MitzvahMitzvoth : Commandement – Commandements ; 

Routh : Ruth ;

Talmud : Mot qui veut dire « Etude ». Vaste compilation des doctrines, discussions et préceptes transmis, pour la Michnah, par les Tanaïm et, pour la Guémara, par les Amoraïm. Quelques décisions de Tanaïms, qui ne se trouvaient pas reprises dans la Michnah, s’ajoutent sous le nom de Baraïtoth (Michnah externe) et en forment la partie nommée Tossefta (« Additif »). Voir ci-après Torah et, ci-avant, Michnah et Guémara ;

Tanaïm : “Répétiteurs” dont on retrouve les opinions principalement dans la Michnah ;

Tanakh : Acronyme de Torah/ Néviïm/ Ktouvim (Pentateuque/ Prophètes/ Ecrits) formant un tout dit, improprement, « Ancienne Alliance » (à l’exclusion des récits apocryphes reconnus par les catholiques mais non par les protestants);.

Torah : Dans le judaïsme, il existe la Torah écrite (Pentateuque) et la Torah orale, qui s’est transmise de générations en générations avant d’être retranscrite, avec tous ses commentaires, jusqu’à nos jours. La Torah écrite n’étant qu’un résumé, elle est incomplète et, sans la Torah orale explicative, peut être sujette à mauvaises interprétations… d’autant plus si elle se lit en une autre langue que la langue originale, l’hébreu (« Traduttore, traditore ! ») ;

Yéh’ezkel : Ezéchiel ;

Yéhouda : Judée et également le nom d’une des 12 tribus d’Israël (Tribu de Judas). Il est à remarquer que Yéhouda a la même racine (Et pour cause !) que Yéhoudi qui veut dire « Juif » ;

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