Demain Ă Gaza, sâĂ©tendra la plus belle orangeraie du monde !
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Voici ci-dessous le psaume 35 de la Bible Ă©crit entre 1000 et 500 avant JĂ©sus-Christ qui nâets riend âautres que la priĂšre de David contre ses ennemis.
Si vous le lisez lentement, vous serez surpris par certains passages qui sont dâune actualitĂ© renversante. Je me suis permis -sans prĂ©tention Ă©videmment !- dâen poursuivre sa rĂ©daction par une vision anticipative.
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« De David. Eternel ! défends-moi contre mes adversaires, Combats ceux qui me combattent !
Saisis le petit et le grand bouclier, Et lĂšve-toi pour me secourir !
Brandis la lance et le javelot contre mes persécuteurs ! Dis à mon ùme : Je suis ton salut !
Quâils soient honteux et confus, ceux qui en veulent Ă ma vie ! Quâils reculent et rougissent, ceux qui mĂ©ditent ma perte !
Quâils soient comme la balle emportĂ©e par le vent, Et que lâange de lâEternel les chasse !
Que leur route soit tĂ©nĂ©breuse et glissante, Et que lâange de lâEternel les poursuive !
Car sans cause ils mâont tendu leur filet sur une fosse, Sans cause ils lâont creusĂ©e pour mâĂŽter la vie .
Que la ruine les atteigne Ă lâimproviste, Quâils soient pris dans le filet quâils ont tendu, Quâils y tombent et pĂ©rissent !
Et mon Ăąme aura de la joie en lâEternel, De lâallĂ©gresse en son salut.
Tous mes os diront : Eternel ! qui peut, comme toi, DĂ©livrer le malheureux dâun plus fort que lui, Le malheureux et le pauvre de celui qui le dĂ©pouille ?
De faux tĂ©moins se lĂšvent ! ils mâinterrogent sur ce que jâignore.
Ils me rendent le mal pour le bien : Mon Ăąme est dans lâabandon.
Et moi, quand ils Ă©taient malades, je revĂȘtais un sac, Jâhumiliais mon Ăąme par le jeĂ»ne, Je priais, la tĂȘte penchĂ©e sur mon sein.
Comme pour un ami, pour un frĂšre, je me traĂźnais lentement; Comme pour le deuil dâune mĂšre, je me courbais avec tristesse.
Puis, quand je chancelle, ils se rĂ©jouissent et sâassemblent, Ils sâassemblent Ă mon insu pour mâoutrager, Ils me dĂ©chirent sans relĂąche;
Avec les impies, les parasites moqueurs, Ils grincent des dents contre moi.
Seigneur ! Jusques à quand le verras-tu ? ProtÚge mon ùme contre leurs embûches, Ma vie contre les lionceaux !
Je te louerai dans la grande assemblĂ©e, Je te cĂ©lĂ©brerai au milieu dâun peuple nombreux.
Que ceux qui sont Ă tort mes ennemis ne se rĂ©jouissent pas Ă mon sujet, Que ceux qui me haĂŻssent sans cause ne mâinsultent pas du regard !
Car ils tiennent un langage qui nâest point celui de la paix, Ils mĂ©ditent la tromperie contre les gens tranquilles du pays.
Ils ouvrent contre moi leur bouche, Ils disent : Ah ! ah ! nos yeux regardent !
Eternel, tu le vois ! ne reste pas en silence ! Seigneur, ne tâĂ©loigne pas de moi !
Réveille-toi, réveille-toi pour me faire justice ! Mon Dieu et mon Seigneur, défends ma cause !
Juge-moi selon ta justice, Eternel, mon Dieu ! Et quâils ne se rĂ©jouissent pas Ă mon sujet !
Quâils ne disent pas dans leur coeur : Ah ! voilĂ ce que nous voulions ! Quâils ne disent pas : Nous lâavons englouti !
Que tous ensemble ils soient honteux et confus, Ceux qui se rĂ©jouissent de mon malheur ! Quâils revĂȘtent lâignominie et lâopprobre, Ceux qui sâĂ©lĂšvent contre moi !
Quâils aient de lâallĂ©gresse et de la joie, Ceux qui prennent plaisir Ă mon innocence, Et que sans cesse ils disent : ExaltĂ© soit lâEternel, Qui veut la paix de son serviteur !
Et ma langue célébrera ta justice, Elle dira tous les jours ta louange ».
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Ă Eternel, nous nous sommes Ă©loignĂ©s de toi ! Nous avons créé des Veaux dâor. Encore une fois, enfants tapageurs et bruyants, nous avons oubliĂ© tes leçons : le DĂ©luge, Sodome et Gomorrhe !
Nous, ton peuple Ă©lu, nous nâavons pas tenu notre promesse dâĂȘtre un modĂšle de vertus pour les nations. Nous avons sombrĂ© dans le consumĂ©risme oubliant Ta gloire Ă©ternelle ! Il nây a pas si longtemps encore, inconscients et imprudents, nous nous sommes divisĂ©s en factions haineuses !
Et voilĂ donc ce quâils viennent de nous faire : notre sang, rouge de notre honte, a coulĂ© sur notre terre chĂ©rie dâIsraĂ«l !
Mais cette fois, nous nous inclinons devant toi. Nous avons compris. Nous sommes dĂ©sormais une Ăąme, une seule, nous sommes Ă tout jamais redevenus les enfants dâAbraham et de MoĂŻse ! Et cette fois, nous avons une armĂ©e Tsahal et nous savons, au plus profond de nos Ăąmes que Tu es Son porte-Ă©tendard. « Mi Shebeirach âŠÂ ».
Ă Eternel ! BientĂŽt, demain mĂȘme ! Le Goush Katif et toute la bande de Gaza seront redevenus terre dâIsraĂ«l, une grande plaine fertile, des orangeraies et des palmeraies sâĂ©tendront à perte de vue ! Tout le bĂ©ton devenu poussiĂšre, aura disparu !
Partout, il nây aura que vĂ©gĂ©tation dâun vert Ă©tincelant, quâarbres fruitiers, que chants dâoiseaux et vols de papillons, que le bleu enchanteur de la mer Ă lâhorizon et que des parfums ennivrants !
Ă Eternel, grĂące Ă toi, cette Ă©charpe de verdure sera pour toujours le pays oĂč coule le lait et le miel car nous aurons exterminĂ© la vermine de Satan !
Et tu seras Ă jamais le MaĂźtre sur ce lambeau de terre autrefois dĂ©chirĂ© du corps dâIsraĂ«l !
Vive Israël !
Par Philippe ARNON, un ami dâIsrael.
RĂ©daction francophone Infos Israel News pour lâactualitĂ© israĂ©lienne
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