Le corps du terroriste Nasser Abu Hamid, décédé mardi d’un cancer, a été décidé de ne pas être remis à sa famille pour être enterré et restera en Israël.

Abu Hamid a été condamné à sept peines d’emprisonnement à perpétuité et à 50 ans supplémentaires pour avoir participé et organisé les attentats qui ont tué sept citoyens israéliens. Au total, l’accusation mentionne son implication dans 13 attentats terroristes, mais tous ont entraîné de graves conséquences.

Après la mort du terroriste, les factions palestiniennes ont accusé Israël de faute médicale et ont promis une réponse ferme.

Après avoir évalué la situation, le ministre de la Défense Benny Gantz a décidé de ne pas remettre le corps à la famille.

Il y a quelques années, le cabinet de sécurité politique a décidé que les terroristes morts en prison ou morts dans une attaque terroriste et associés au Fatah, au Hamas et au Jihad islamique seraient détenus en Israël et utilisés pour un éventuel échange contre des soldats israéliens morts ou les prisonniers.

La déclaration de Gantz a également noté qu’Israël nie catégoriquement les allégations d’implication israélienne dans la mort du prisonnier.