Les Gardiens de la révolution ont essayé de recruter des chiites et des immigrés pour établir une infrastructure terroriste. Avec l’aide d’un Israélien, les Allemands ont attaqué un certain nombre de centres et arrêté des agents qui sont venus au nom de Téhéran.
Le Mossad était impliqué dans l’arrestation d’agents iraniens en Allemagne. Cela a été publié mardi soir dans le communiqué de presse. Selon des sources diplomatiques, la vaste opération qui s’est déroulée hier sur le sol allemand fait partie de la coopération internationale dans laquelle l’agence de renseignement israélienne joue un rôle central.
Selon le rapport, Israël a récemment transféré aux forces de sécurité en Allemagne les renseignements qui ont provoqué l’opération. Les forces de sécurité dans le pays ont perquisitionné un certain nombre de sites suspects qui ont servi de cachettes aux agents iraniens qui espionnaient les Israéliens.
Selon les rapports, le procureur général a émis des mandats de perquisition à Berlin et en Bavière. Apparemment, les agents iraniens appartiennent à la Force Qods des Gardiens de la Révolution. La force iranienne a essayé d’activer des cellules terroristes au nom des Gardiens de la Révolution. Les agents ont contacté des chiites non iraniens, dont certains avaient la citoyenneté européenne, dont certains étaient des réfugiés dans le processus de civilisation, afin d’établir une infrastructure qui fonctionnerait à travers le continent.
Dans le même temps, il n’est pas certain que les communautés juives ou les missions israéliennes soient une cible centrale dans cette opération des gardiens de la révolution. L’ambassadeur iranien en Allemagne a été convoqué la semaine dernière pour une réprimande pour espionnage sur son territoire contre des éléments et des groupes ayant des liens avec Israël.
En ce qui concerne l’exposition des cellules en Allemagne, Netanyahu a dit qu’Israël a empêché 30 attaques au cours des deux dernières années, dont certaines sont très graves.
Il y a environ un an, Sayed Mustafa a été condamné à quatre ans de prison pour espionnage pour les gardiens de la révolution en Iran. Il a suivi un membre du Parti social-démocrate et ancien président de l’Association germano-israélienne, Reinhold Rubeh, qui a reçu un salaire mensuel de deux mille euros.