Dans le jardin de la vie, il existe un recoin que nous appelons le « sod ».
Dans ce recoin, tous les secrets de l’antisémitisme sont expliqués d’une manière cristalline.
Ces explications sont souvent reprises dans les providentiels cours du Rav H.DYNOVISCZ.
Pour autant je me demande souvent pourquoi l’antisionisme se vend si bien sur notre planète.
Tout d’abord, il me semble qu’il nous faut revendiquer que le judaïsme n’est pas une religion, car à mon sens, le concept de religion est indissociable de l’idolâtrie. D. dans son infinie plénitude ne nous est pas accessible.
En revanche, le respect qu’il nous faut avoir pour la vie, l’homme, la morale et l’éthique sont les conditions qui nous rapprochent de notre but commun…
Le problème est que nous sommes les seuls à posséder cette vraie humilité, cette force d’atavisme qui nous relie les uns aux autres.
Être Juif, c’est respecter l’autre par et pour sa singularité : ouvrir nos « EAUX » pour accueillir l’autre avec toutes ses différences. Un peu à l’image de l’union d’un homme et d’une femme.
Comment une sagesse, revendiquant à ce point le miracle qu’est la vie, a-t-elle pu provoquer l’antisémitisme : tous les assassinats de nos frères et sœurs?
Comment, un demi-siècle après la Shoah, des hordes d’écervelés hurlent des slogans antisémites à Paris?
Il me semble évident que notre foi en l’homme soit des plus dérangeantes vis-à-vis de certains qui semblent ne pas supporter nos desseins empreints d’un humanisme jamais égalé.
Fondamentalement nous, peuple juif, évoluons entre deux pôles : le Dogme et la réforme.
Notre vie s’exprime aussi par les mesures constituées par nos actes… Constamment nous pesons chacun de nos choix, pour tenter un équilibre. Chacun à notre manière, nous utilisons cette science qui donne la honte à toutes les sciences; la TORAH.
En cherchant notre vérité, nous montrons au reste du monde qu’être Juif, c’est aussi être « en devenir », c’est se débarrasser de toutes nos scories.
En ayant constamment notre passé à l’esprit, nous marchons dans la vie vers un objectif commun, celui du salut du monde des hommes.
Quant à ceux qui nous haïssent, de manière directe ou indirecte (antisémitisme/antisionisme), l’on comprend qu’en nous attaquant, ils crachent sur l’incommensurable beauté de l’existence.
En exprimant l’horreur de leurs pensées, ils nous montrent à quel point ils sont déjà morts….
Nous avons traversé tant d’épreuves, que nous ne nous laisserons pas faire par ces êtres à l’humanité improbable.
La route est encore longue, mais dans notre voyage et au sein même de nos cœurs palpitants brillent une lumière commune : celle de notre délivrance.
Comment une sagesse, revendiquant à ce point le miracle qu’est la vie, a-t-elle pu provoquer l’antisémitisme : tous les assassinats de nos frères et sœurs?
Comment, un demi-siècle après la Shoah, des hordes d’écervelés hurlent des slogans antisémites à Paris?
Il me semble évident que notre foi en l’homme soit des plus dérangeantes vis-à-vis de certains qui semblent ne pas supporter nos desseins empreints d’un humanisme jamais égalé.
Fondamentalement nous, peuple juif, évoluons entre deux pôles : le Dogme et la réforme.
Notre vie s’exprime aussi par les mesures constituées par nos actes… Constamment nous pesons chacun de nos choix, pour tenter un équilibre. Chacun à notre manière, nous utilisons cette science qui donne la honte à toutes les sciences; la TORAH.
En cherchant notre vérité, nous montrons au reste du monde qu’être Juif, c’est aussi être « en devenir », c’est se débarrasser de toutes nos scories.
En ayant constamment notre passé à l’esprit, nous marchons dans la vie vers un objectif commun, celui du salut du monde des hommes.
Quant à ceux qui nous haïssent, de manière directe ou indirecte (antisémitisme/antisionisme), l’on comprend qu’en nous attaquant, ils crachent sur l’incommensurable beauté de l’existence.
En exprimant l’horreur de leurs pensées, ils nous montrent à quel point ils sont déjà morts….
Nous avons traversé tant d’épreuves, que nous ne nous laisserons pas faire par ces êtres à l’humanité improbable.
La route est encore longue, mais dans notre voyage et au sein même de nos cœurs palpitants brillent une lumière commune : celle de notre délivrance.
Par Crisstov Koisha pour Alyaexpress-News