« Tu seras toujours dans mon cƓur » : des amis se souviennent d’un soldat tuĂ© dans une attaque Ă  coups de couteau » – Par Jean Vercors

Ron Kokia, 19 ans, tué jeudi soir dans une attaque terroriste apparente. Ses amis de Tsahal ont exprimé leur douleur et leur deuil dans une série de déclarations émouvantes, se souvenant de Kokia comme une personne spéciale et attachante qui leur manquera pour toujours.
Le sergent Ron Itzhak Kokia, 19 ans, attendait le bus à Arad quand il a été poignardé a mort dans le dos.
Les terroristes n’ont toujours pas Ă©tĂ© retrouvĂ©s et une vaste chasse Ă  l’homme est en cours.

La petite amie de Kokia, Yael Sapir, a postĂ© sur Facebook cette dĂ©claration d’amour sincĂšre. Selon le site Walla, elle a Ă©crit,

« Je ne crois pas et je ne veux pas croire que tu n’es plus avec nous. Il m’est impossible de croire que je parle de toi au passĂ©, et que tu n’es plus lĂ . Je ne sais pas par oĂč commencer.  »
« Ce n’est pas juste que cela te soit arrivĂ©, toi le garçon avec de grands yeux bleus que je ne pourrais plus te regarder et fondre Ă  nouveau », continua-t-elle.

« Le zeste infini de la vie que tu as eu, le sourire conquĂ©rant qui n’est jamais tombĂ© de ton visage, et bien sĂ»r un cƓur d’or. Tu nous a toujours aidĂ©s tous et tu nous as donnĂ© un coup de main mĂȘme quand tu n’avais pas Ă  le faire. Tu es simplement un trĂ©sor. « 

« Je ne crois pas que je ne puisse plus t’appeler ‘Ronchuk' », conclut-elle. « Nous ne rirons plus ensemble, nos profondes conversions jusqu’aux petites heures de la nuit que nous avons aimĂ©es. Ronchuck, tu me manques dĂ©jà
 Tu seras toujours dans mon cƓur. Tu Ă©tais un hĂ©ros et un hĂ©ros tu resteras. ProtĂšge-nous d’en haut. « 

Ariel Amir, un ami proche de l’armĂ©e qui a suivi une formation de base avec Kokia a Ă©galement parlĂ© de leur relation, en disant : « La douleur est si proche et intense.
Ron a Ă©tĂ© assassinĂ© de sang-froid par de vils terroristes. Koki, tu Ă©tais mon ami le plus proche dans le camp d’entraĂźnement
 Alors qu’il y a des larmes dans mes yeux, je veux te commĂ©morer.

Tu Ă©tais innocent et extraordinaire, je ne peux pas imaginer Ă  quel point c’était douloureux pour toi Ă  ce moment, c’est si douloureux pour moi. Nous avons eu tellement d’expĂ©riences en si peu de temps. Je me souviendrai toujours de toi. »

Que sa mémoire soit une bénédiction


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