Les « hérauts du destin », comme le poète Yitzhak Shalu appelait autrefois les « hérauts » de l’officier de la ville, ont erré hier pendant de longues heures entre les quartiers et les rues avec la bonne nouvelle de Job dans la bouche. Ils se figèrent, manquant un battement « … devant les portes. Partir un instant / à ceux-là, le troupeau au-delà… / et puis – frapper, avec chacun de tes doigts, comme si tu creusais la tombe » (Yitzhak Shalu, un garçon revenu de l’armée, « officier de la ville »).
Et nous n’avons pas de mots de consolation, autres qu’un câlin affectueux, des souvenirs et la poursuite de « l’unité » dans laquelle nous nous engageons. Et surtout une phrase banale, plus vraie et plus vraie que jamais : « leur mort n’a pas été vaine », car « quelque chose », comme le disait le poète contemporain Eliez Cohen, « quelque chose d’autre naîtra de tout ce sang ».
Eyal et Eli, Matan Vanir, Cedric, Sagi et Barak, et les autres soldats qui ont été tués hier et avant-hier et au cours des trois derniers mois, sont tombés de sorte que nous ici, dans l’État d’Israël et sur la Terre d’Israël – le terre de destinée et refuge du peuple juif – peut continuer à exister et à créer, à rire et à pleurer.
Ils sont tombés dans une guerre sans justice, contre le mal, le mal et les ténèbres dans leur incarnation. Ils ont donné leur vie pour nous tous, afin que nous puissions réparer ce qui doit être réparé ici, reconstruire les environs et renvoyer les habitants là-bas et dans les localités du nord. Pour que les Juifs connaissent un réveil dans leur pays. Pour que nous puissions éradiquer littéralement ceux qui promettent de nous détruire chaque jour.
La Seconde Guerre d’Indépendance
Jamais l’expression « leur mort n’a pas été vaine » n’a été plus fidèle de la réalité. À bien des égards, il s’agit de notre deuxième guerre d’indépendance. Une guerre sans choix, conçue pour protéger le foyer personnel et national, et pour dissuader les autres ennemis autour de nous, qui attendent de voir comment nous mettrons fin à cette guerre. Allons-nous tomber ou nous relever ?
Nos soldats sont tombés et non en vain, afin que nous puissions réaffirmer la justesse de notre chemin, du sionisme et de l’identité juive, et restaurer la cohésion et l’unité dans nos rangs. Tout cela sera réécrit dans le sang d’Elkana de Kiryat Arba, de Yoav Mihud, de Nicolas de Jérusalem et de Raphaël de Pardes Hana-Karkur ; Eux et leurs amis, venus de tout le pays.
Si le diable vient et tente à nouveau d’engourdir nos esprits et de créer des conflits entre nous, si quelqu’un ose prétendre que sa mort a été vaine, à Dieu ne plaise, nous lui dirons que ce n’est que grâce à lui, tôt ou tard, que la plupart des les personnes enlevées rentreront chez elles ; Grâce à eux, les nouveaux nazis du Hamas qui nous ont massacrés, violés et maltraités seront battus et exterminés. Il lut à ses oreilles la prophétie de Zacharie : «עֹד יֵשְׁבוּ זְקֵנִים וּזְקֵנוֹת בִּרְחֹבוֹת יְרוּשָׁלָם וְאִישׁ מִשְׁעַנְתּוֹ בְּיָדוֹ מֵרֹב יָמִים. וּרְחֹבוֹת הָעִיר יִמָּלְאוּ יְלָדִים וִילָדוֹת מְשַׂחֲקִים בִּרְחֹבֹתֶיהָ ».
Grâce à eux, nous nous souvenons que « l’évidence » n’est plus du tout le cas. Grâce à eux, nous avons éradiqué non seulement l’ennemi extérieur, mais aussi l’ennemi intérieur, en nous : la tendance aux conflits, aux conflits et au mauvais sang. Nous saurons garder ici notre unité, non seulement en cas d’urgence et de guerre, mais aussi juste un jour de la semaine, car nous avons juré que « « משהו עוד יקום מתוך כל הדם הזה », או כדברי הנביא: « אֶעֱבֹר עָלַיִךְ וָאֶרְאֵךְ מִתְבּוֹסֶסֶת בְּדָמָיִךְ וָאֹמַר לָךְ בְּדָמַיִךְ חֲיִי וָאֹמַר לָךְ בְּדָמַיִךְ חֲיִי »
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