Il y a les rumeurs. Il y a les gros titres. Et puis il y a les faits. Israël, ces derniers mois, a été attaqué, calomnié, défié, mais aussi admiré, étudié et secrètement imité.

Regardez autour. L’Iran se vante d’avoir piraté ses secrets nucléaires. Le Hamas utilise les hôpitaux comme boucliers humains. La France enquête sur des Israéliens comme si leur patriotisme était un crime. Et pendant ce temps, Israël continue : il découvre des tunnels, sauve des otages, affronte ses ennemis et assume ses décisions.

Et que disent ses détracteurs ? Qu’Israël est “disproportionné”, “isolé”, “radicalisé”. Vraiment ?

Isolé, quand il coordonne chaque semaine avec Washington, Abu Dhabi et parfois même Riyad ?
Radicalisé, quand sa Cour suprême débat des lois de son propre gouvernement ?
Disproportionné, quand il affronte des groupes terroristes qui cachent des armes sous les berceaux ?

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La vérité, c’est qu’Israël n’est pas isolé. Il est en avance.

Il est l’un des seuls États capables de mener des frappes chirurgicales tout en respectant, autant que possible, le droit humanitaire. Il est l’un des seuls à développer des technologies de défense qui sauvent des civils – des deux côtés de la frontière. Et il est peut-être le seul à maintenir une démocratie active, vigoureuse, conflictuelle – en pleine guerre.

Ce qu’Israël offre au monde, ce n’est pas une perfection idéalisée. C’est un modèle de résilience. Une leçon de survie. Un exemple d’adaptation.

Pendant que l’Occident débat, que l’Europe brûle ses rues lors des jours de fête, qu’aux États-Unis les milliardaires s’insultent sur scène, Israël agit. Défend ses enfants. Sauve ses otages. Démantèle des tunnels. Et répond à ses critiques par des faits.

Et au fond, c’est bien cela qui gêne tant ses adversaires. Israël ne demande pas la permission. Il agit. Il protège les siens. Il se soucie peu de la popularité. Il choisit la responsabilité.

Alors qu’un monde incertain bascule dans des alliances instables, Israël reste, pour ceux qui savent regarder au-delà du bruit, un pays-pivot. Un pays qui a compris que la paix ne vient pas par des hashtags, mais par la force et la lucidité.

Et tant qu’Israël restera fidèle à cette vision – ferme, juste, démocratique, mais jamais naïve – il restera ce qu’il est : un phare dans la tempête.