C’est une nouvelle qui aurait semblé impensable il y a encore quelques mois, mais que des diplomates commencent désormais à évoquer en privé : la reconnaissance unilatérale d’un État palestinien par certains pays européens pourrait bientôt être remise en question. Selon les informations de Canal 7, plusieurs gouvernements européens, qui avaient récemment annoncé cette reconnaissance dans une démarche symbolique, seraient en train de réévaluer leur position à la lumière des faits – des faits que seuls Israël et ses partisans n’ont jamais cessé de rappeler.

Une décision prise sous la pression, pas sur les faits

La reconnaissance d’un État palestinien par des pays comme l’Espagne, l’Irlande ou la Norvège a été présentée comme un acte de “justice historique”. Mais ce geste politique n’avait rien à voir avec une évaluation sérieuse de la réalité sur le terrain. Il s’agissait d’un acte symbolique, idéologique, souvent dicté par des pressions internes ou des calculs électoraux.

Les gouvernements concernés ont agi comme si l’État palestinien existait déjà, comme s’il disposait de frontières définies, d’un gouvernement unifié, d’un système judiciaire, d’une armée sous contrôle civil. Rien de tout cela n’existe. Ce que l’on appelle “Palestine” est aujourd’hui un territoire divisé, avec deux autorités rivales : le Hamas à Gaza, organisation islamiste désignée comme terroriste par l’Union européenne elle-même, et l’Autorité palestinienne à Ramallah, minée par la corruption, la violence politique et un rejet obstiné de toute négociation sérieuse.

L’Europe commence à se réveiller

Mais aujourd’hui, certains chancelleries commencent à réaliser ce qu’Israël répète depuis des années : une reconnaissance diplomatique ne remplace pas une réalité sur le terrain. Pire, elle peut la compliquer. En reconnaissant un État qui n’existe pas, l’Europe a court-circuité toute possibilité de négociation directe, sapé sa propre crédibilité en tant que médiateur, et donné un encouragement tacite aux factions les plus extrêmes du camp palestinien.

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Les services de renseignement européens ont commencé à tirer la sonnette d’alarme. Dans des documents confidentiels, ils alertent sur l’appropriation de cette reconnaissance par le Hamas, qui l’utilise comme preuve que “la résistance armée paie”. Dans les rues de Gaza, les images d’otages israéliens et de roquettes sont désormais affichées à côté des drapeaux espagnols et irlandais – comme si l’Europe avait validé la terreur.

Une reconnaissance sans conditions = un chèque en blanc au terrorisme

Soyons clairs : la reconnaissance d’un État palestinien en l’absence de toute réforme, désarmement ou engagement à coexister avec Israël est un acte dangereux. Ce n’est pas un pas vers la paix – c’est une prime au rejet et à la violence. Aucun État démocratique n’accepterait de reconnaître une entité qui glorifie les attaques contre ses civils, qui finance les familles de terroristes, qui éduque ses enfants à haïr l’autre dès la maternelle.

Et pourtant, c’est ce qu’ont fait certains pays européens. Par idéologie, par ignorance, ou par peur de leurs propres opinions publiques. Mais aujourd’hui, ils mesurent les conséquences. La Norvège, notamment, revoit déjà ses mécanismes de financement. L’Espagne, confrontée à des tensions diplomatiques avec Berlin et Paris, commence à faire marche arrière en interne. Et plusieurs parlementaires européens, de plus en plus nombreux, demandent une annulation pure et simple.

Israël n’est pas contre la paix – mais pas à n’importe quel prix

Il faut rappeler une vérité simple : Israël ne s’oppose pas à un État palestinien par principe. Il s’y oppose tant que cet État représente une menace. Tant qu’il rejette l’existence même d’Israël. Tant qu’il enseigne la haine. Tant qu’il glorifie les tueurs.

La reconnaissance internationale doit être une récompense, pas un droit automatique. On ne reconnaît pas un “État” qui tient des élections une fois tous les vingt ans. On ne reconnaît pas une entité qui ne contrôle pas ses propres groupes armés. On ne reconnaît pas un projet national basé sur la destruction d’un autre.

Israël est prêt à des compromis, à des négociations, à des accords. Mais il ne peut pas – et ne doit pas – négocier avec un couteau sur la gorge.

Un message pour le monde libre : il est encore temps de revenir à la réalité

Si la reconnaissance d’un État palestinien est révoquée, ce ne sera pas une défaite de la diplomatie. Ce sera un retour à la lucidité. Le monde libre doit comprendre que la paix ne peut pas être imposée à une seule partie. Elle doit être construite. Elle doit être méritée. Elle doit être bilatérale.

Le peuple israélien ne demande pas l’impossible. Il demande le droit de vivre, de défendre ses enfants, de ne pas être accusé quand il protège sa population. Et surtout, il demande que l’on cesse de récompenser ses agresseurs sous prétexte de “justice”.

Conclusion : la vérité revient toujours

Pendant des années, Israël a été présenté comme le “frein à la paix”. Et pourtant, c’est lui qui a signé les accords d’Abraham. C’est lui qui a quitté Gaza en 2005. C’est lui qui tend la main, encore et encore. Ce sont ses soldats qui préviennent les civils ennemis avant de frapper. Ce sont ses citoyens qui vivent chaque jour sous la menace.

La reconnaissance d’un État palestinien sans conditions n’a rien à voir avec la paix. C’est un slogan, une illusion, un piège.

Et aujourd’hui, ceux qui l’ont promue commencent à comprendre. Révoquer cette reconnaissance ne serait pas une défaite morale. Ce serait un acte de responsabilité. Un signal envoyé à ceux qui croient que l’Europe est naïve. Et un geste de soutien, enfin clair, à la seule démocratie du Moyen-Orient.